Il arrive un peu plus tôt que prévu, alors que je ne suis pas tout à fait prêt. Je lui réponds et il entre, mais comme je nai pas fini ce que jai à faire, il sinstalle devant le téléviseur et se met à regarder dun il distrait. Au bout dun long moment, après quelques bribes de conversation qui ne prennent pas à cause de mon occupation, il sinforme à propos du film de cul de la dernière fois. Je ne suis pas surpris, mais je joue le jeu et lui installe la cassette. Après avoir vérifié que personne ne nous dérangera, il sinstalle plus à son aise et cesse de soccuper de moi. Mais le bruit du film fait son effet sur moi aussi et je ne peux mempêcher de lobserver du coin de lil. Sentant que je suis ralenti dans mon travail, il sassure que je continue mon boulot, ce que je fais du mieux que je peux dans les circonstances. Mais après de longues minutes, je vois sa main qui sapproche de son entrejambe. Il semble mobserver du coin de lil mais je crois parvenir à lui cacher le fait que je le vois assez bien dans lensemble. Pour paraître plus occupé encore, je me mets à écrire beaucoup à lordinateur, ce qui finit de lui confirmer que je suis bien trop occupé pour lui porter attention. Sa main sagite discrètement et écarte extrêmement doucement sa fermeture éclair. Quelques secondes plus tard, loiseau sort du nid : il exhibe le mandrin puis me jette un léger coup dil. De voir que je le verrais le gênerais sans doute un petit peu, mais il a déjà franchi tout ce bout de chemin, et il serait stupide de ne pas continuer. Je feins de ne pas le voir, mais je ne veux pas que cela paraisse trop forcé. Alors, je recule ma chaise pour métirer et je regarde dans sa direction. Il paraît brièvement surpris, mais en voyant lair que je fais en lapercevant ainsi, il ne peut sempêcher de sourire. Il lance quelques mots dexcuse, mais je le rassure rapidement : je connais sa situation et ne suis pas là pour lui créer des embrouilles. Il continue quelque peu à se justifier, mais son attention est entièrement requise par le film et ses excuses se perdent dans un marmonnement.
Comme jai fini ce que javais à faire, je tourne ma chaise vers la télévision. Il constate alors que jai fini et affirme vouloir partir, mais jinvente une histoire comme quoi jattends la confirmation de quelquun par courriel et le film peut donc continuer. Mon ami sactive passablement sur son sexe, et je sais pour lavoir vu quil a énormément dendurance de ce côté-là. Je laisse passer deux bonnes scènes avant de me glisser la main sous le pantalon. La situation mexcite énormément, et si je me tripote trop rapidement, je sais que je jouirai. Or, je tiens à ce quil le fasse avant moi, si pour une fois il ose aller jusquau bout. Mais voilà quil perd soudainement un peu dintérêt envers le film et se tourne vers moi en entamant la conversation. Voyant que je me masturbe sans avoir sorti ma bite, il minvite à me mettre à laise, affirmant avoir vu « tout ça » bien souvent jadis. Je le prends au mot, mais lentement, ne voulant pas paraître trop excité par son invitation. Lorsque jai enfin sorti lengin, il mobserve un instant, puis résume sa propre masturbation. Puis, il rit dune étrange façon à deux reprises et finalement se tourne vers moi : « Étais-tu sérieux hier quand tu disais que tu moffrirais une pipe? » Jai beau me retenir, je me sens un peu rougir. Je bégaye quelques mots, mais sentant quil na pas lancé sa question pour blaguer, je le relance : « Tes sérieux, là? » Il a un petit rire gêné, puis affirme que dans létat où il est dernièrement, il prendrait une pipe de nimporte qui ou à peu près. Sentant quil est probablement sérieux, je lui dis alors : « Je doute fort être bon pour faire ça
mais il y a plus de chances que je fasse une pipe à quelquun que je me fasse enculer
» La porte est ouverte, et il y entre avec à peine un brin dhésitation. « Ah oui? Ben si tu veux, gêne-toi pas! » et il éclate dun grand rire qui me laisse vaguement perplexe. Je laisse les choses un peu en suspens, comme pour le laisser sentir quil ma gêné. Il sent la chose et ne sait trop comment laborder, alors je prend les devants. « Tu sais, moi ça mest déjà arrivé de me faire sucer par un gars
et cétait
» Curieux, il nattend pas ma réponse : « Bon? Mauvais? Comment? » « Divin », je réponds, et jajoute même que cétait merveilleux. Il demande quelques détails que je lui donne. Tout en écoutant mon récit, et le détail ne méchappe pas, il continue de se branler lentement. Au bout dun moment, il joue la carte du gars sonné par ma révélation, et affirme : « Je sais pas si je serais capable
pas avec un gars
je pense pas
je sais pas
» Je lui lance alors largument béton : « Pourtant, tout le long que je te racontais ça, sans regarder le film, tu as continué de te crosser! » Il accuse la chose en éclatant de rire, mais je poursuis : « Moi, je suis sûr quau fond, tu le veux ». Il parait intrigué et cesse un instant de se toucher. Mais il me regarde fixement, et finit par demander : « Et toi
tu oserais? » En lui fixant intensément la queue, je fais oui de la tête. Un intense silence sinstalle entre nous.
Il a recommencé à regarder le film, mais à tout bout de champ, son regard fixe le vide et il semble réfléchir. Son érection na pas diminué, ce qui laisse deviner que la situation lexcite quand même. Puis, il finit par me jeter de petits regards, très bref. Visiblement, il ne sait pas comment faire sa demande. Cest moi qui le pousse dans ses derniers remparts : « On dirait que
ça te tente
» Il lève le regard sur moi, longuement, paraît hésiter puis dans un soupir, lance un « Jpense que jai le goût dessayer
» Il sest levé, et maintenant ne semble plus savoir quoi faire. Je reste sur ma chaise, puis je vérifie avec lui sil est vraiment certain de vouloir faire ça. Il réfléchit, mais comme il a lair plus inquiet à savoir si cela ne me dérangera pas, je le rassure définitivement en lui déclarant que cest là une occasion dont je rêve depuis de longues années. La chose paraît le surprendre, mais il me décoche un heureux sourire et minvite à prendre les choses en main.
Je le fais se rasseoir. Je le sens nerveux mais néanmoins excité. Je mapproche de lui et magenouille tout en installant sous mes genoux quelques coussins afin dêtre plus confortable. Il mobserve très intensément, et je me demande sil va me laisser faire comme il semble le dire. Lentement, je mapproche de son sexe. De me voir dans cette situation semble le déconcerter, mais il ne fait rien pour me repousser. Je prends alors linitiative de toucher à son sexe de la main droite. Ce nest pas la première fois que je le touche ainsi, mais la seule autre tentative avait semblé lintimider à lépoque et je navais plus osé par la suite. Avant maintenant. Sauf que cette fois, je ne fais pas que le branler. Après avoir caressé son pénis et ses couilles pendant quelques instants, japproche ma tête entière. Je commence par le sentir discrètement, puis japplique ma langue contre la base de sa bite. Je remonte doucement, mais craignant quil refuse de continuer, jengouffre son gland dans ma bouche. Je nose le regarder, mais je ne sens aucun geste de découragement. Je continue donc ma pipe du mieux que je peux. Au bout dune trentaine de secondes, je le sens qui se réajuste sur le divan et jai finalement la conviction quil va se laisser faire jusquau bout. Je suce, lèche et savoure sa longue bite qui semble être faite sur mesure pour ma bouche. Au moment où je commence à me demander si je suis seulement doué, je lentends enfin gémir pour une première fois. Jose regarder vers lui et laperçoit les yeux fermés, sabandonnant complètement à mes caresses buccales. Puis, me rappelant un aveu quil mavait fait un jour, je commence à utiliser les mains tout en le suçant. Cela le fait gémir encore plus fort, et il me semble que son sexe vient encore de gonfler. Ma main gauche sattarde doucement aux testicules dune manière à laquelle je suis incapable de résister. Cela semble lui donner des chocs électriques. Il recule sur son siège, mais massure que cest de plaisir, et remets sa bite aux bons soins de ma langue. Encore quelques minutes de ce traitement et je sens quil va bientôt gicler. Il men avertit, mais je tiens à tout garder et à le sentir exploser dans ma bouche. Il semble surpris, mais nullement déçu. Jaccélère le rythme et il me presse de continuer. Je continue, continue, cest bon, cest bon, et lorsquil mannonce que ça sen vient, il est déjà trop tard. Cest une véritable inondation et jai beau me forcer, je ny arrive pas. Javale ce que je peux et le reste me finit un peu partout sur le visage.