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Itinéraire d’un petit pervers.

Publié : mer. 23 sept. 2020, 03:51
par bananabo
Bonjour à tous.



Tout a commencé un matin, je devais avoir 4-5 ans, je m’habillait avant d’aller à l’école et je me suis aperçu que mon zizi était tout dur. Je me suis dit, je termine de m’habiller et j’irai montrer ça à maman après. Une fois habillé, l’erection était parti. Quelque jours après, même chose, j’enlève mon pyjama, je me rend compte que mon zizi est de nouveau tout dur et ayant « peur » qu’il redevient normal, je me dirige vers la cuisine avec mon petit bout pointant vers le ciel et je dit à ma mère : « Mais qu’est-ce que j’ai ? ». Vraiment, je ne comprenais pas du tout. Elle a répondu « c’est pas bien ! » et je suis retourné m’habiller.

J’ai compris ce jour là, que les affaires de zizi, c’est en privé !



Plus tard, J’avais profité des rares moments d’intimité, le bain, la sieste à l’école pour me tripoter. J’adorais, avec un seul doigt, caresser la peau autour du zizi et des boules sans les toucher. Même aujourd’hui, cette caresse me rend hummmm !



Vers 6-7 ans, après l’école, j’étais avec un autre garçon de mon âge dans la cour de récréation. Nous étions les deux derniers gamins à attendre nos parents. Je ne sais plus si c’est lui ou moi qui a amené l’idée sur la table. Cela étant, nos sommes allé aux toilettes, nous avons baissé nos pantalons, slip et on s’est frotté zizi contre zizi. J’ai adoré ça ! Je ne souviens pas l’avoir refait avec lui.



Vers 7 ans, avec un voisin qui avait 6 ans. On jouait souvent au docteur derrière le cabanon au fond du jardin. Les symptômes de nos « douleurs » se situant au niveau de l’entrejambe, le frottage zizi contre zizi était le meilleur et plus délicieux des traitements ! Un jour, on était dans son lit en train de se frotter et sa sœur nous a surpris. Avec ce garçon, nos activités « médicales » se sont arrêtées.



Mais elle ont commencé avec d’autres, durant la même période, avec deux frères, un de 7 ans, l’autre de 8, on allait souvent dans la forêt frotter nos gland les uns contre les autres, je me souviens de nos trois gland violacé entrechoquant les uns les autres, quel délice. 1er plan à trois à 7ans !



D’ailleurs la technique du gland à gland, c’est un garçon rencontré au centre aéré qui me l’avait apprise. On avait décidé d’aller dans les buissons pour se faire du bien. Il m’a dit, tu veux faire quoi ? J’ai répondu, me frotter. Il m’a dit qu’il avais mieux et il ne mentais pas. Il m’a demandé de me décalotter et il en a fait de même, puis il a frotter son gland contre le mien en fessant le tour. J’avais trouvé ça trop trop bon et avec ce garçon, nos avons continué cette pratique pendant 3 ans avant qu’il déménage.



A 8 ans les choses sérieuses ont commencé. Je me doutais qu’il y avait un truc sur le zizi que je ne savais pas quoi...



C’était un mercredi matin, un voisin qui avait 13-14 ans me garder et les choses ont un peu dérapé. Je ne me souviens plus trop comment ça a commencé, je pense que l’idée vient de moi. J’avais vu Total Recall un peu auparavant, la scène où la prostitué à trois seins dit à Arnold « ça te branche, on s’en paye une tranche » m’avait marqué. Le petit pervers en moi avait organisé un petit scénario. En gros, le voisin venait devant moi la grosse bite poilue à l’air en disant, ça te branche, on s’en paye une tranche. Et je lui agrippais la bite avez mes mains.

Et en effet cela me branchait bien ! On était sur le canapé, il frottait sa grosse bite sur mon petit zizi, j’adorait ça ! Et là, il me demande si j’ai fini. Je ne comprends pas trop, mais je réponds oui d’un ton penaud. Il répond du tac au tac : j’vais aux toilettes. Il y va et y reste pas mal de temps. Je sens qu’il y a un truc mais bon je ne dis rien. La semaine d’après, idem, on se tripote sur le canapé, je prends mon pied à regarder et sentir ce gros zizi se frotter vigoureusement contre le mien, il me demande si j’ai fini, je répond non et on continue. Quelque minutes après, il me repose la même question et je réponds oui, après tout il est grand. A peine répondu, il se lève en me disant : j’vais aux toilettes. A peine le verrou fermé, je remonte mon slip et pantalon et je tape à la porte des toilette et lui dit : mais qu’est-ce que tu fais ? Montre moi ? Il me dit qu’il me montrera après, mais d’abord je devais le laisser tranquille aux toilettes. Je vais me rasseoir en regardant la TV, je regardait de temps en temps en direction des toilettes en me demandant qu’est-ce qu’il pouvais bien faire et dans combien de temps il allait finir. Concrètement, je ne savais pas si qu’il fessait, en revanche je savais pertinemment que ce n’était ni pipi, ni vous voyez...



J’entend le verrou, je bondis vers la porte des toilettes. A peine sorti, je lui dit mais qu’est-ce tu fessais, montre moi ? dis moi ? Allez dis moi !

J’étais un petit garçon turbulent alors la sagesse du grand a parlé, il me dit va dans ta chambre. A peine arrivé, je commence à lui dire, mais tu fessais quoi ? Il m’interrompt et me dit baisse ton pantalon puis allongé toi sur le lit. Je m’exécute. Il commence alors à astiquer mon petit zizi, je bande rapidement, je ne comprends pas trop ce qu’il fait, mais bon ça fait du bien! Et pas trop longtemps après, je sens deux petit picotements au niveau au pelvis qui irradies vers tout le reste du zizi et des boules et se transforme en très violente onde de plaisir qui a durer une éternité. J’étais littéralement dans un autre monde. j’entendais au loin : j’vais arrêté, j’vais arrêté. En effet sous l’effet de la vague de plaisir que je ressentais, je me suis pliais en deux progressivement, commencent à empêcher cette main amicale de faire son œuvre. Mais je ne contrôlais rien et à un moment, il à du arrêter car j’étais complètement recroquevillée sur moi-même.

J’ai mis au moins 5 min pour m’en remettre et lorsque je suis sorti de ma torpeur, je n’avais qu’un seul mot en tête : Encore ! Je lui ai demandé, une autre s’il te plaît. Il m’a dit que je devais apprendre à le faire seul. Il m’a un peu aidé au départ, mais j’ai trouvé comment bien faire. Au moment de jouir, je lui disais tout fier, regarde, ça vient, là. Avec ce garçon, nous avons continué à nos frotter et à se branler et plus encore pendant de nombreuses d’années.



Quel temps après, ma mère a estimé que je pouvais me garder tout seul le mercredi, après tout elle rentrait le midi (important pour la suite).



Les mercredis sont devenu les mercredis branlette. Petit déjeuner devant la TV, puis branlette. Parfois pas forcément dans ce sens ! Puis je devais me branler au moins encore 3-6 fois dans la journée. Je vous l’avait dit, à 8 ans un vrai petit pervers.



Je me souviens un de ces mercredi matin, j’avais commencé à me branler mais j’étais tombé sur un truc à la TV qui m’a fait décroché de mon zizi, en me disant que je continuerai après. Une bonne demi-heure passe et j’entends le bruit des cailloux qui s’entrechoquent sous le poids de la voiture de ma mère. Je suis en panique, j’ai pas fini ma branlette, pris de panique, je baisse le devant de mon pyjama et commence frénétiquement à me branler, je bande rapidement. J’entends le bruit des clé dans la porte d’entré, je continue. J’avais fermé la porte du salon et je la fixé en astiquant mon petit bout. J’entends la porte s’ouvrir, ses premiers pas et elle m’appelle. Je continue et je commence à jouir, ses pas sont de plus en plus rapproché et je commence a voir au travers de la porte en verre son ombre arriver. L’orgasme est presque fini et j’entends le grincement de la clanche de la porte et je remet en vitesse mon zizi dans le pyjama. Ma mère me disant : mais qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu n’as pas répondu ? J’ai dit que je regardais la tv et que je n’avais pas entendu. J’ai eu chaud mais c’est passé, enfin pour cette fois. Même situation quelque temps plus tard, j’avais pas réussi à jouir aussi rapidement.



Un autre mercredi j’ai découvert qu’après un orgasme, je pouvais en ravoir rapidement un autre en continuant dans la foulée du 1er. J’ai fait une journée record, ou j’ai perdu le compte après 14-15 orgasmes.



Les autres jour de la semaine n’était pas en reste, je devais au moins me branler 3 fois par jours minimum. Parfois plus. Parfois trop.



Il y a eu un dimanche branlette sos médecin, je m’était branlé en forêt dans l’après-midi, j’avais dû le faire au moins 5 fois d’affilée en 30min, j’avais arrêté car je commençais à avoir mal. Plus tard à la maison en fin d’après-midi, je sens mon zizi bizarre, je regarde et je vois qu’il est enflé, du genre du simple au double. J’ai eu peur, j’en ai parler à ma mère qui a appelé sos médecin. Le médecin est arrivé, à regarder mon zizi, il a dit rien de grave et il est parti. A l’époque j’étais sûr que j’étais passé inaperçu, aujourd’hui je sais que le médecin savait. Merci à lui de n’avoir rien dit.



J’ai compris qu’il fallait faire une pause entre les branlettes et je n’allais pas au delà de 2-3 orgasmes d’affilée.



Après l’école et les devoirs, je devais me mettre en pyjama et j’allais regarder la tv dans le salon. Pendant que ma mère préparait le repas du soir, je me branlais dans le salon. Je fessait ça quasiment tout les soir. Idem les dimanches matin devant le club Dorothée. Je m’astiquais au moins 3-4 fois dans la matinée.



Très rapidement, le fait de ne pas pouvoir me branler me pousser encore plus à vouloir le faire, paradoxalement mon lit était le dernier endroit où je me branlais. Je le fessais derrière le cabanon dans le jardin, la forêt, dans les toilettes partout ; celle de la maison pour les branlette de jour, celle de l’école (au moins une fois par jour d’école du CE2 au CM2, voir plus parfois plus, du genre une a chaque récré), celles des voisins qui me gardais le soir après l’école.



Une fois, ma mère et moi étions partis en voyage, je devais avoir 9 ans. On s’était arrêté à l’hôtel et malheureusement c’était une chambre à lit double. J’avais essayé de me branler dans la salle de bain, mais ma mère me pressant pour rentrer, j’avais arrêté. Après le restaurant, on rentre à l’hôtel, on se couche, elle éteint la lumière et je pensais au fait que je ne pouvais pas le faire, surtout à 20 centimètres de ma mère dans le même lit. Mais l’envie était trop forte, j’ai plié un genou pour avoir de l’espace sous les draps et j’ai commencé à astiquer tout doucement, puis un peu plus vite. Je me souviens avoir joui bien fort et mettre dit juste après : génial, je peux le faire dans la meme chambre sans me faire prendre. Par contre je n’ai pas tenté le double orgasme !



Parfois à l’école, lorsque le cours ne me plaisait pas, je demander l’autorisation d’aller au toilette, du genre maîtresse j’ai mal au ventre, je peux aller aux toilettes ? Pas besoin de vous dire ce que j’allais faire...



Je me branlait souvent au cinéma, je me mettais au premier rang et je m’astiquais. Je me souvient mettre branlé 5 fois pendant le film Double Team avec Vandamme. J’ai atteint le 5ème orgasme juste après le début du générique de fin.



Un été, on était parti en vacances dans les alpes, j’étais assis derrière le siège conducteur. Dans un tunnel qui ne semblait pas finir, je demande à mère, il est long ce tunnel ? Elle m’a répondu que c’était l’un des plus long de France. Pourquoi ? Pour rien lui répond-je... A peine fini de parler, braguette descendue et astiquage en règle. J’avais peur de ne pas réussir à finir avant la fin du tunnel mais si.

Après 15 jours de vacances, sur le chemin du retour, j’ai récidivé dès les premiers mètres du tunnel et j’ai eu 2 orgasme, j’ai pas eu le temps d’aller au 3ème, maudit tunnel trop court !



C’était mes péripéties masturbatoire de mes 8-11ans, durant cette période, je n’ai pas fait que m’amusez tout seul.



Avec le jeune frère, celui du plan à trois dans la forêt, on se frotter régulièrement après l’école. On allait dans la forêt, on se frotter puis on s’asseyez l’un face à l’autre et on se regardait se branler. Mon meilleur souvenir avec lui, on devais avoir 10ans. Nous étions dans la même chambre (deux lits 1pers) lors d’un voyage d’école. Tout les soir pendant 5 jours, il venait dans mon lit ou moi dans le sien après l’extinction des feux. On se mettais tout nu et on se frottais. J’adorais sentir son corps nu contre le mien en lui caressant les fesses. Puis il s’allongeait à côté de moi, chacun caressait l’autre et enfin on se soulageait. Une fois on s’est endormi comme ça. Je me suis réveillé dans la nuit, je l’ai réveillé et il est allait dans son lit. On aurait pu avoir chaud !



Pendant les vacances, au centre aéré, à chaque sortie, je trouver bien un buisson ou des toilettes pour se frotter le gland avec mon copain « l’inventeur de cette technique ». L’été de mes 9 ans, avec ce garçon, on avait fait une semaine de camping organisé par le centre aéré, malheureusement, c’était des tentes individuelles. Le premier matin à la douche, ce copain, pas farouche pour un sous, tape à ma porte, j’ouvre, il rentre et me dit qu’on prend notre douche ensemble. On s’est pas beaucoup lavé... On a pris nos douches ensemble tout les matins. Une fois un vieux monsieur nous a vu sortir ensemble de douche, il avait l’air surpris, mais bon tant que c’était pas le mono.



Je le fessais souvent avec le garçon de 14ans, celui qui m’a initié à la branlette et m’a offert mon 1er orgasme. Dans la forêt, chez lui, chez moi. On le fessait partout et à chaque occasion. J’étais fasciné et excité par sa grosse bite poilu. Une j’avais réussi à le convaincre de se mettre tout nu et de faire l’amour comme des grands. On était dans le lit, j’étais sur lui en train de remuer j’ai essayé de l’embrasser mais il n’a pas voulu alors je lui ai fais des bisous dans le cou et je gémissais en disant oh oui, oh oui. Par contre j’étais pas à l’aise avec le sperme mais je ne pouvais pas m’empêcher de regarder, de toucher et de sentir. A chaque fois, je passais mon doigt sur le sperme, le sentais et je fessais ouhh c’est degeu et lui il rigolait. J’étais bien content de ne rien voir à nettoyer après mes branlettes.



La dernière fois que je l’ai fait avec lui, j’avais 17ans et lui 23 ans.



Voilà qui clôture le 1er chapitre de 4-5 ans à 11 ans. Je raconterai la suite.



Merci de m’avoir lu.

Re: Itinéraire d’un petit pervers.

Publié : sam. 26 sept. 2020, 23:17
par Kong
Bon récit d'un petit pervers qui me fait penser à celui que j'étais moi-même !

Mais si je peux me permettre une remarque grammaticale, tu écris "fessait" chaque fois à la place de "faisait" : ça peut prêter à confusion avec la fessée... :D

Re: Itinéraire d’un petit pervers.

Publié : lun. 28 déc. 2020, 12:00
par pat440
je me sens moins seul quand je te lis.



Mes premières caresses avec un pote étaient bien avant que nous n'éjaculions. En vacances, nous nous les touchions dés que possible, nous bandions tous le temps alors notre grand plaisir était de se les montrer molles alors , quand l'un de nous deux la sentait molle, il disait " glace pilée" et nous courrions aux toilettes de la plage....

Nous les touchions et rebandions aussitôt !



Une année, après un hiver séparé, nous nous sommes retrouvés l'été , nos bites avaient durcies, nos poils avaient poussés et du jus avait enfin coulé.



J'ai dit à mon pote, tu te branle toujours, il a dit oui, nous nous sommes allongés sur son lit, avons baissé nos slips, nos bites ne se ressemblaient plus, la sienne était courbée à cause de son frein qui la tordait quand il bandait. La mienne était bien droite.



Je l'ai fait se retourner et ai frotté ma queue dans sa raie, j'ai joui sur lui. Il m'a dit la prochaine fois , ce sera moi, nous ne nous sommes jamais revu.



Je me tape encore des branles en pensant à ce moment unique. Des fois j'imagine nos retrouvailles, ma raie serait à lui, mes mains, ma bouche aussi, tout !



Mon autre initiateur fut mon pédiatre qui m'emmenait dans un cabinet seul avec lui et me tatait les bourses puis me décalottait et me recalottait plusieurs fois de suite.Je n'osais pas bander mais je l'avais demi molle.Il revenait dans la pièce ou attendait ma mère et disait Tout est bien, tu parles ! Je ne disais rien mais le soir je me branlais sous les draps en pensant à ses gestes...je pense encore souvent à lui.



Merci à eux deux !!! après je me suis débrouillé tout seul, enfin pas toujours seul !!!

Re: Itinéraire d’un petit pervers.

Publié : lun. 28 déc. 2020, 17:03
par arnaud.69
Le témoignage de bananabo n'a rien de "pervers" mais retrace simplement la question pertinente de la sexualité des enfants.

@Eviscène : bananabo ne dit pas qu'il a éjaculé à cet âge, seulement qu'il a éprouvé des orgasmes "secs".



Hé, oui ! les enfants ont, eux aussi, une sexualité ! Pour rappel, l'érection s'observe déjà chez les nourrissons.

Et, non, cela n'a rien à voir avec la pédophilie, qui reste un crime où un adulte utilise son ascendant pour abuser sexuellement d'un enfant.



Sur un sujet aussi sensible, je préfère laisser la parole à des spécialistes, plus qualifiés que moi sur le sujet :


La masturbation, un comportement normal



A la question que tous les parents se posent « Est-ce que c’est normal que mon enfant se masturbe ? » La réponse est oui, c’est absolument normal ! Comme le souligne la psy : « Les jeunes enfants découvrent de façon fortuite que le frottement de leurs organes génitaux leur apporte du plaisir. Une fois qu’ils en font l’agréable expérience, ils vont rechercher cette sensation. Ça fait partie des comportements normaux d’exploration du corps. » La sexualité des enfants commence donc avec la découverte naturelle des sensations corporelles. Pratiquer l’autostimulation sert à éprouver du plaisir, à se détendre, à mieux gérer le stress en favorisant l’endormissement. Bref, que des bonnes choses !



Source : https://www.parents.fr/enfant/psycho/ex ... quoi-60949


Professeur de psychologie au collège Marie-Victorin, Patrick Doucet, dans "La vie sexuelle des enfants ?", vient bousculer notre croyance selon laquelle « les enfants normaux et bien élevés ne sont naturellement intéressés d’aucune façon par quelque activité sexuelle que ce soit jusqu’à ce qu’ils parviennent à la puberté ».

La vérité serait tout autre : des enfants, même en très bas âge, se touchent, se masturbent, peuvent avoir des orgasmes, et ce n’est généralement pas un problème.

(...)

La recherche sur ce sujet demeure difficile à mener, note Doucet, parce que « la sexualité des enfants nous est “naturellement” désagréable, personne ne souhait[ant] être associé à ce qui, d’ordinaire, n’intéresse que les pédophiles ». Il en résulte que « le seul angle sous lequel nous acceptons plus aisément de l’aborder est celui des cas d’agression ».

(...)

« Curieusement, écrit Doucet, les enfants et les adolescents assistent à la télé ou au cinéma à des millions de meurtres, tandis que nous veillons beaucoup plus scrupuleusement à ce qu’ils ne voient aucune représentation de ces activités sexuelles auxquelles ils se livreront tôt ou tard. N’est-il pas un peu étrange de montrer si généreusement ce que l’on ne devra pas faire et si peu ce que l’on fera ? » En effet.



Source : https://www.ledevoir.com/opinion/chroni ... t-en-l-air



Patrick Doucet, enseignant en sexologie à Montréal et auteur de La Vie sexuelle des enfants ? (Ed. Liber). «Un tabou perdure autour de cette question, comme si les vrais enfants étaient chastes et purs et restaient dans l’attente de la puberté afin d’éprouver des frissons sexuels», affirme-t-il.[/i]



Source : https://sante.lefigaro.fr/article/comme ... s-enfants/


Alexandre Bacros, sexologue : assure qu'il est important d'expliquer "qu'à un moment donné tu te touches, tu découvres ton corps, tu joues avec ta zézette ou ton zizi. Oui, tu peux le faire parce que se faire des chatouilles, cela fait du bien. Mais il faut expliquer que cela ne se fait pas le dimanche après-midi dans le salon quand papy et mamy viennent manger du gâteau et boire du café".



Autre point important sur la découverte corporelle, il ne faut pas dire à son enfant que ce qu'il fait est sale : "j'entends cela très souvent quand je fais l'historique sexuel (de mes patients). Je pose des questions par rapport à la découverte de la masturbation et j'entends des histoires qui sont parfois affolantes où une maman qui découvre sa petite fille qui joue avec son sexe vers six-sept ans et l'emmène chez le médecin en lui disant "si tu continues à jouer avec ta zézette, un zizi va pousser". Cette dame qui a maintenant trente ans m'a expliqué : "depuis ce jour-là, je ne me suis plus jamais touchée parce que j'en avais peur". Une situation qu'Alexandre Bacros veut éviter.



Source : RTBF, Télévision belge, https://www.rtbf.be/vivacite/article/de ... d=10410048


Pour ma part, je maintiens que le terme "porno" ne veut pas dire grand chose : c'est un mot fourre-tout, aussi vague que des mots tels que "plante" ou "poisson" (terme qui englobe aussi bien une sardine qu'un requin).



Je suis persuadé que des films érotiques explicites softs, comme celui-ci :
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sont bénéfiques pour l'éducation sexuelle des enfants lorsqu'il sont accompagnés d'un encadrement pédagogique adéquat (parent, éducateur, enseignant...).



L'absence d'éducation sexuelle des enfants est la cause de beaucoup d'inquiétudes, voire de souffrances :













A.