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Quelle est votre position préférée pour vous masturber ?

N'hésitez pas à en dire plus sur vos positions de branle...

Je m'aperçois que tout le monde aime bien avoir les jambes écartées

MarcNancy54 a écrit :
Je m'aperçois que tout le monde aime bien avoir les jambes écartées

Pas forcément. Resserrer les cuisses tout en les remuant légèrement l'une contre l'autre est très agréable. J'adore ressentir la friction de mes propres poils...

Qu'elles soient poilues ou glabres, une cuisse caresse l'autre, or chez un mec la face intérieure des cuisses est une zone érogène sensible.



Larousse Médical (éd. 2006) :

Le réflexe crémastérien est une contraction du crémaster (muscle sustenteur du testicule) provoquée par l'excitation cutanée de la face interne de la cuisse, qui entraîne l'ascension du testicule.



De plus, le fait de resserrer les cuisses congestionne un peu mon sac de roustons vers l'avant, ce que je trouve sympa également...



A.

Pour moi c'est "autre" : couché sur le ventre, en bougeant le bassin de gauche à droite.

C'est la position sur le ventre que j'avais naturellement trouvée enfant, avant la puberté. Je faisais ça sur un oreiller en imaginant être un cowboy et je me suis vite rendu compte que cela devenait agréable et qu'au bout d'un moment les mouvements s'accéléraient jusqu'à la venue d'un étrange plaisir..sans aucune émission de liquide, ce qui était bien pratique finalement ; j'avais 5 ou 6 ans je pense....

J'ai gardé cette position jusqu'à la puberté puis je suis passé sur le dos en entendant les copains décrire leur façon de se masturber...

jaimejouir a écrit :Pour moi c'est "autre" : couché sur le ventre, en bougeant le bassin de gauche à droite.

Bien que très minoritaire, je rejoins arnaud.69 ... sur le dos, jambes serrées et tendues, et même croisées, j'adore !

Surtout pour me finir ... Mais il est toujours plaisant de changer: l'autre nuit, j'ai redécouvert la position couché sur le côté, en chien de fusil, la bite sortie sur le côté du slip comme d'habitude, les couilles et la base de la bite emprisonnées entre les cuisses (je suis plutôt "dodu") d'oú émergeaient tout juste le gland et quelques centimètres de verge, que je caressais du bout des doigts. J'ai bien joui !

Ou, bien sûr, en slip et à plat ventre, se frotter sur ce que l'on veut, tapis, sol, lit, comme à mes lointains débuts ...

En parlant de la position chien de fusil ...Couché sur le dos, je repousse ma queue molle gland vers les genoux, maintenue ainsi dans le slip. Je la cajole. Quand elle commence à s'allonger et à enfler, je la sors sur le côté, toujours repoussée vers le bas et l'arrière, en la pliant légèrement si nécessaire. Je replie les jambes, repousse mon zob derrière les cuisses, que je serre le plus possible. Je me retrouve donc en chien de fusil, sur le dos, le zob coincé derrière les cuisses et gland décalotté vers les genoux, présentant le frein.Il suffit de passer la main derrière la cuisse pour le caresser ...

J'ai pratiqué la nuit dernière; j'ai failli décharger sans le vouloir.

C'est possible aussi accroupi, ou jambes demi-fléchies ...

Tripotin54 a écrit :En parlant de la position chien de fusil ...Couché sur le dos, je repousse ma queue molle gland vers les genoux, maintenue ainsi dans le slip. Je la cajole. Quand elle commence à s'allonger et à enfler, je la sors sur le côté, toujours repoussée vers le bas et l'arrière, en la pliant légèrement si nécessaire. Je replie les jambes, repousse mon zob derrière les cuisses, que je serre le plus possible. Je me retrouve donc en chien de fusil, sur le dos, le zob coincé derrière les cuisses et gland décalotté vers les genoux, présentant le frein.Il suffit de passer la main derrière la cuisse pour le caresser ...

J'ai pratiqué la nuit dernière; j'ai failli décharger sans le vouloir.

C'est possible aussi accroupi, ou jambes demi-fléchies ...

C'est douloureux de forcer une queue bandée vers le bas, non ?

J'aime l'observer palpiter le gland à découvert entre l'horizontale et mon bas-ventre...



A.

Non, Arnaud, je ne ressens pas de douleur; seulement une sensation de contrainte que j'augmente ou diminue à ma guise, en étendant ou repliant les jambes et en serrant plus ou moins les cuisses. J'aime beaucoup ça, car parmi tous mes vices, je dois être un peu maso ... déjà, ce que j'aime faire avec mes tétons, et dont j'ai pris conscience grâce à Chezonan !!!

C'est un peu comme se serrer les burnes, à la main ou entre les cuisses, avec modération, bien sûr. Pas dans un étau !!!

La pine semi bandée coincée derrière les cuisses, je le pratique de temps en temps, mais depuis longtemps. Parfois presque debout, le cul en arrière, surtout devant un miroir.

Il est vrai qu'à 73 ans, avec ma prostate rectifiée au laser, mes érections n'ont pas la rigidité d'une barre à mine. Elles ne l"ont d'ailleurs jamais eue. Déjà, gamin en colo, j'enviais un peu mes petits amis à la bite plus petite mais si raide quand ils bandaient. Maintenant, c'est plus facile; ma bite en érection enfle et s'allonge et ne durcit vraiment (et relativement !) qu'avec un astiquage énergique, pour jouir. Mais elle gonfle gentiment et atteint, comme disent les agents immobiliers, "de beaux volumes" !!!

Bonnes, nombreuses et longues masturbations à tous !

Ah, j'oubliais ... il y a aussi les médocs qui peuvent gêner !

Pour être bien explicite, mes érections sont variables selon les jours et toujours très progressives. Je peux jouir avec une demi-molle, et même une toute molle si j'ai le temps. Je commence en général par enfler et allonger en me tripotant, c'est le bon moment pour ce genre de petits jeux. La rigidité (relative) ne vient qu'après, avec un astiquage énergique; à sec, de préférence, pour m'achever. Là, je n'essaie plus de la plier, ou de la faire passer derrière ! Je me polis d'une façon classique ... comme la nuit dernière !