sa mère trouve mieux qu'il éjacule ...

Ici, raconte tous tes fantasmes de branles imaginaires...
tresonan

sa mère trouve mieux qu'il éjacule ...

Message par tresonan »

C'est vrai que rétrospectivement, on pourrait souhaiter que cela soit arrivé...



Tous les matins, avant de me lever, je me masturbe, je me touche, vicieusement je crois...et pour éviter d'en mettre partout, comme je dois finir par me lever, j'attends d'aller aux toilettes, comme pour faire pipi, et je me fais éjaculer pour avoir la paix avec mes érections. Vicieusement, comme le laisse entendre ma mère qui m'a fait entendre un jour qu'un fils d'une amie traînait dans son lit le matin, et qu'il était " vicieux...".



Quand je fais ça, je relève un peu le haut du pyjama pour ne pas tacher, car je mouille beaucoup en me tripotant, et je passe mon sexe par l'ouverture de la culotte du pyjama, ou bien je baisse carrément mon pyjama à mi-cuisses; mais je ne fais ça que si je sais que je ne risque pas de me faire surprendre, autrement c'est trop long pour se rhabiller, et je crois que ma mère me surveille sans rien dire, parce qu'elle rentre n'importe quand dans ma chambre; j'ai vite les doigts plein de mouille glissante, et je m'en sers pour caresser ma tige toute dure et puis ça m'aide à faire sortir mon gland...je me tripote en culpabilisant un peu, alors que ma mère m'appelle régulièrement pour que je vienne petit déjeuner, sinon je vais être en retard pour les cours...



Un jour, maman est rentrée dans ma chambre alors que j'étais en train de me tripoter sous le drap; elle venait déposer des affaires. J'ai eu peur qu'elle me surprenne en pleine masturbation à cause de la lumière qui venait de la porte ouverte, mais très vite j'ai compris qu'elle se doutait bien de ce que je faisais : après avoir déposer les affaires sur la table, elle s'est approchée du lit, et m'a dit, visiblement très agacée: " Allez ! lève-toi ! Tu crois que je ne sais pas ce que tu es en train de faire !". Elle a allumé la lampe de chevet, et sans prévenir elle a rabattu d'un coup le drap de mon lit et a découvert mon pyjama baissé à mi-cuisses, ma veste remontée au-dessus de mon nombril ! j'étais mortifié par la honte et la gêne de me trouver comme ça devant ma mère...et le pire c'est que quand je me suis rendu-compte qu'elle allumait, je n'ai pas osé retirer mes mains, de peur que le mouvement sous mon drap me trahisse; du coup, quand ma mère a rabattu le drap, j'avais mon sexe en érection entre mes doigts...et ma mère a tout de suite vu que j'étais en train de " me branler"...mais ce qui a été pire encore, c'est qu'au lieu de chercher à cacher mon sexe avec mes mains, j'ai eu le reflexe idiot de vouloir faire semblant de rien, et que j'ai vite posé mes mains de chaque côté de moi,comme si je voulais faire que je n'étais pas en train de me masturber,... ce qui a fait que j'ai montré à ma mère mon érection, qu'elle a vu que je bandais, que ma queue était toute baveuse parce que justement je me tripotais...et de plus, il y avait, posé sur mon ventre, le mouchoir que je m'apprêtais à utiliser pour me vider dedans sans en mette partout !...



Elle s'est assise sur le bord du lit : " Fais voir tes mains !", elle a pris mes mains, a passé ses doigts sur les miens, tout couverts de mouille et glissants...Le pire est qu'à me retrouver comme ça, allongé sur le dos, en érection sous les yeux de ma mère, ça m'a troublé quand j'ai pensé en même temps, à la voir jambes nues avec ces genoux ronds qu'elle avait, que c'était une femme, que c'était ma mère, mais que c'était une femme après tout... même si cette pensée confuse m'affolait, de voir ma mère comme une femme, avec des cuisses toutes douces et chaudes, et entre le haut de ces cuisses une fente de femme...j'ai pensé à cette fente qu'elle avait entre les cuisses, et j'ai pensé que quand mon père se sentait comme je me sentais en ce moment, avec le bas-ventre qui le démange, lui, sans rien dire, il n'avait qu'à emmener sans attendre ma mère dans un coin quelconque de l'appartement, lui retirer ou lui donner l'ordre de retirer sa culotte, lui dire de se tenir les cuisses bien écartées et de rester comme ça pour qu'il enfonce son érection dans cette fente entre le haut des cuisses d'une femme, et se soulager dans le chaud du ventre de ma mère; pour faire ça, il pouvait dire à ma mère de s'assoir au bord d'une table, cuisses bien ouvertes; ou alors il pouvait lui dire de s'allonger sur le lit, sur le dos, genoux écartés, pour qu'il n'ait qu'à s'allonger sur elle et rentrer facilement sa queue dans la fente pour se faire plaisir sans se retenir et se vider de son sperme sans se soucier d'en mettre partout...ou bien il pouvait demander qu'elle se mettre à genoux sur le lit, penchée en avant, pour qu'il vienne se placer derrière elle rentrer dans la fente, position plus humiliante encore, je trouvais, pour ma mère, car pour présenter sa fente à mon père comme ça, elle était obligée de laisser mon père voir aussi le petit trou intime entre ses fesses ( je n'imaginais pas à cette époque-là que mon père devait justement lui dire de se placer dans cette position parce qu'il devait aimer sucer le petit trou de ma mère avant de lui planter sa queue dans le ventre; je n'imaginais pas à cette époque-là, que mon père et ma mère devaient aimer tous les deux faire çà, et qu'au lieu de chercher à cacher cet endroit si intime d'elle, elle devait aimer se tenir les fesses ouvertes, pour sentir la langue de mon père la sucer sur le petit trou, et sentir le plaisir qu'avait mon père à lui rentrer le bout de sa langue dans son petit trou du cul....dans le petit trou du cul de ma mère !)...



Quand m'est venu l'idée qu'elle avait une chatte, là, à une cinquantaine de centimètres de ma main pleine de mouille d'homme, mon érection s'est durcie, et j'ai contracté ma queue plusieurs fois sous ses yeux, en le faisant bien fort, pour qu'elle voit dans mon désarroi que ces spasmes sexuels que j'avais devant elle, c'était parce qu'elle devait comprendre que si je me tripotais c'était parce que j'avais très-très envie !...je tenais ma queue dressée, toute dure; j'étais pétrifié et de gêne, et d'envie ! j'avais juste eu le temps de poser mes mains le long de moi en sentant qu'on rabattait le drap pour voir ce que je faisais dans mon lit, et je contractais ma queue comme par une sorte de défi de jeune homme devant une femme...une grosse coulure de mouille translucide est alors sortie de mon sexe et est tombée sur mon ventre, et c'est comme si ma mère n'avait pas été là, car j'ai senti que j'avais très envie d'éjaculer !...

... elle s'est bien rendu compte que je faisais exprés de contracter ma verge toute dure et baveuse; j'avais honte et je me sentais perdu par l'effet de mon désir : pyjama baissé, je montrais à ma mère que je bandais ! elle regardait, et je lui faisais voir mon érection !...je montrai à ma mère l'état dans lequel je m'étais mis tout seul en me livrant à l'onanisme, je me livrai à elle dans ce désarroi d'une pulsion sexuelle dérangeante; j'étais dans l'impudeur totale comme en espérant d'elle une solution à mon problème...



Son ton s'est un peu adouci..." Bon...il y a longtemps que tu fais ça ce matin ? je veux dire: que tu... te touches ?... cinq minutes, un quart d'heure, une demi-heure ? "; je répondis d'une voix blanche : " non...ça fait pas un quart d'heure..."; et elle me dit alors : " bon, on va arranger ça; mais n'y reviens pas ! et comme ça, tu seras tranquille quand tu te lèveras...". Je n'ai pas compris tout de suite ce qui allait se passer, mais ma mère a alors vite fait glisser mon bas de pyjama plus bas que mes genoux, a déboutonné ma veste de pyjama, en a écarté les pans; j'étais quasi nu, allongé dans mon lit sur le dos, en érection, devant ma mère assise sur le bord mon lit au niveau de mes jambes, ses genoux ronds tournés vers moi... " Tu as une grosse érection...ça doit te gêner d'être tout dur comme ça ! ...écarte un peu les genoux...ne t'inquiète pas, je sais ce qui arrive aux garçons et aux jeunes hommes comme toi; bien, ne dis rien, tu me laisses faire, ça ne sera pas long."

- Passe tes bras sous ton dos !

Je m'exécutai, soumis aux ordres de ma mère...en passant mes mains sous mon dos, cela ma cambra et révèla davantage aux yeux de ma mère l'érection de son fils; cela me gêna et m'excita très fort à la fois...j'avais très peur, et mon coeur se mit à battre à toute allure car je ne savais pas ce qui allait m'arriver; pour tout dire, je craignai de recevoir une forte gifle destinée à me calmer...

- Fais sortir tes mains, de chaque côté de toi !

J'enfonçai davantage mes avant-bras sous moi; la position me tenait sans défense, le bras immobilisés par le poids de mon corps.

Elle me demanda de soulever un peu les épaules; fit glisser mon oreiller sous mon dos, et me dit de m'allonger; la position me tenait alors la tête rejetée en arrière, sans pouvoir voir ni ma mère, ni mon ventre...

- Bon. Ferme les yeux, ne dis rien; je vais en profiter pour un rapide examen, pour savoir si tout va bien chez toi, je me demandais justement si tout allait bien quand il t'arrive ce que tu as là...tu as grandi ces temps-ci, et les jeunes hommes ont des problèmes parfois dont ils n'osent pas parler à leur mère.

J'attendais, le souffle court, les yeux fermés.



Tout alla alors très vite.

Je sentis ma mère prendre dans une main mes bourses; elle me palpa rapidement chaque testicule; puis elle prit ma verge à sa base, entre deux doigts, et sans attendre tira nettement et assez fort vers le bas pour faire saillir mon gland " C'est bien, dit-elle, tu n'auras pas de problème avec les filles, ton gland est libre...tout est normal; tu es en bonne santé; bon, ferme les yeux et laisse-moi faire, ça va allez vite...". Elle retira le mouchoir posé sur mon ventre en disant : " Tu n'auras pas besoin de ça ce matin !"...

Ma mère mis alors son pouce et son index en anneau autour de ma verge, à la moitié de sa longueur, et se mit à me masturber, d'une manière que je n'aurais jamais imaginée de sa part ! sa main avait des gestes réguliers, à la fois doux et très fermes qui me procurèrent immédiatement beaucoup de plaisir...je me détendis : je savais maintenant que j'allais pouvoir éjaculer pour me calmer, même dans le plaisir et la honte que cela soit ma mère qui me fasse ça...ma mère avait un geste très fort, qui me décalottait très fort, plus fort que je le faisais tout seul, et me procurait un plaisir très fort, si fort que je sentis une grosse coulure sortir de mon gland et tomber sur mon ventre...je respirai plus fort, ma mère me masturba alors un peu plus vite, et j'eus un indécent mouvement de hanches, comme pour enfoncer ma verge dans l'anneau des doigts de maman... Je ne pus empêcher un aveu honteux ..." Maman...je voudrais...je voudrais te voir...je voudrais te voir...quand tu as les cuisses, enfin, les genoux..."..." Oui, me dit-elle, oui, continue; continue à me dire ce que tu voudrais, je crois que c'est mieux...ça va te faire du bien de le dire...allez, dis-le, ose me dire ce que tu voudrais, ça va te faire du bien, je le sais ...parce que quand tu commences à parler comme ça, je sens bien dans mes doigts que tu es tout dur...et que tu te retiens en ne parlant pas jusqu'au bout; il ne faut pas que tu restes tout tendu et dur comme ça : alors dis-moi ce que tu veux me dire, et tu vas voir ça va te calmer, te soulager, je le sais bien; alors, qu'est-ce que tu voudrais, avec mes cuisses ou mes genoux ? n'aies pas peur, je ne te punirais pas..."

- je voudrais...je voudrais te voir quand tu te baisses, et que tu as les genoux écartés, mais très écartés !...et que tu n'as pas encore mis de culotte !

...ma mère n'avait pas arrêté la masturbation qu'elle me faisait, après que j'aie dit de tels mots...je ne pus retenir mon éjaculation et me mis à gémir doucement en sentant ma semence gicler sur mon ventre..." soulage-toi ! me dis ma mère, ne te retiens pas, ça te fait du bien..."

Ma mère me fit vider, avec sa main, tout le sperme que je retenais depuis que j'avais commencé à me masturber sous mon drap; quand j'ai senti mon éjaculation épuisée, ma mère me demanda doucement : " C'est fini ?...tu te sens mieux ?...va prendre une douche pour retirer tout le sperme que tu as sur toi "
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