Quand j'ai commencé à me masturber régulièrement, le soir dans mon lit pour obtenir une éjaculation, j'avais pris l'habitude d'utiliser un grand mouchoir pour m'y vider sans tacher mes draps; quand je trouvais que je m'étais donné assez de plaisir, je plaçais le mouchoir sur mon ventre, puis je le refermais autour de mon érection, et je me faisais éjaculer en reprennant mes gestes masturbatoires; je devais avoir alors environ 14 ans. Ensuite, je mettais le mouchoir sous mon oreiller, et je m'endormais...
...et je faisais ça presque tous les soirs !
Ma mère changeait régulièrement les draps, la taie d'oreiller...retirait le mouchoir, et le soir, dans mes draps propres, je prennais un nouveau mouchoir pour dissimuler les conséquences de mon onanisme...
Or, un jour, bien après avoir pris l'habitude de mes pratiques solitaires, dans la journée, j'ai par hasard soulevé mon oreiller...catastrophe !...le drap était tout taché de jaune à l'endroit où je posais le mouchoir après y avoir vidé mon sperme; l'oreiller aussi portait une honteuse auréole jaune et sèche, et le mouchoir...le mouchoir, lui était tout jaune aussi,et tout rigide à cause du sperme séché; et puis l'odeur de ce mouchoir en disait long !...j'étais très mal, très mal à l'aise en me rendant compte que ma mère savait avec quelle régularité je me livrais à la masturbation, et ce que j'avais fait, chaque fois que je repliais le mouchoir pour le mettre sous mon oreiller ! j'étais mortifié.
J'ai pris ensuite d'autres habitudes pour ne pas me trahir. Jamais ma mère ne m'a parlé de ça; elle aurait pu me laisser entendre que je tachais inutilement le drap et l'oreiller, sans me dire ce qu'elle savait, et me conseiller de faire autrement, quand je me " mouchais".
Et puis bien des années après, je me suis dit qu'après tout ma mère pensait effectivement que je me mouchais, pour tacher autant un mouchoir, car il y a à peu près quarantes ans de cela, les mères ignoraient grandement je pense les habitudes sexuelles des garçons, et le besoin irrésistible qu'ils ont, pour être bien, de se débarrasser régulièrement de ce sperme qui leur innonde de manière lancinante les glandes...