En montagne...

On t'as pris sur le fait ? Ou bien tu as surpris quelqu'un qui se branlait ? Raconte nous ça !
johnford

En montagne...

Message par johnford »

Dans mon post précédent, je vous racontais comment j'avais surpris mon cousin.

Je vais vous raconter l'une des fois où je fus pris en flag...

Vers l'âge de 16 ou 17 ans, je me masturbais à un rythme frénétique. Je cherchais des situations qui pouvaient accroître mon plaisir et mon excitation. C'est à cette époque que je commençais à me masturber en extérieur. Parfois, le soir tard, quand j'étais très excité, je sortais tout nu de ma chambre par la fenêtre et j'allais me branler dans le petit bois qui bordait la résidence où nous habitions. J'aimais sentir le vent sur mon corps et bander librement. J'en éprouvais une impression de puissance. Pour atteindre le bois, je devais traverser une petite rue éclairée. C'était la partie risquée de mon excursion nocturne. Mais je ne crois pas m'être fait surprendre alors. Par contre, cela développa en moi le plaisir de se branler dehors. Une fois que je me baladais en forêt et que l'envie de me branler me tiraillait, Je me suis dessapé complètement pour jouir en plein jour. Une autre fois, en vacances chez mon père, je suis parti faire une rando en VTT dans le but unique de me branler en pleine nature. Que de plaisir j'ai pris alors...

Mais venons-en aux faits ! L'histoire que je voulais vous raconter se passe en montagne, où j'étais parti randonner avec une association de marcheur dont ma tante faisait partie. Ce devait être l'été suivant ma découverte de la branle en plein air. J'avais dans la tête un garçon dont j'étais tombé complètement amoureux, ce qui n'était pas sans répercussion sur ma tendance compulsive au touche pipi !... Lors d'une pause repas, à l'heure de la sieste, alors que nous faisions halte en pleine montagne sur un escarpement rocheux et aride, je cherchais un coin où me masturber tranquillement. Je m'éloignai donc, prétextant un besoin tout naturel. Je trouvai vite refuge derrière un gros rocher. Je ne me suis pas complètement déshabillé. J'ai juste enlevé mon tee-shirt et baissé mon bermuda sur les chevilles. J'étais loin du chemin et je me branlais en regardant le sommet. Quand je me branle, j'aime coincer ma main gauche entre mes cuisses, juste sous mes couilles. C'est dans cette position que j'ai vu tout à coup arriver face à moi un randonneur qui, heureusement, n'appartenait pas à notre groupe. J'ai eu tellement honte que j'ai remonté mon bermuda en toute hâte et que je me suis enfui, passablement calmé dans mes ardeurs juvéniles ! J'ai dû attendre qu'il dépasse notre groupe avant de le rejoindre de peur qu'il ne fasse un commentaire sarcastique...
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