Le grimper à la corde : de l’enfer au paradis

Parle de ta toute première masturbation sans tabou. Comment l'as-tu découvert, avec qui ?
Grippartigues
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Le grimper à la corde : de l’enfer au paradis

Message par Grippartigues »

Je m’appelle Christophe. Médiocre grimpeur à la corde, c’est pourtant au cours de cette activité que j’ai connu les moments les plus agréables et jouissifs de mon existence… Flash-back :



C’est l’année scolaire 1965-1966. À quelle période ? Je ne m’en souviens plus précisément. Je suis en CM 2, j’ai un an d’avance et j’ai neuf ou dix ans. Je suis plutôt sage et bon élève. Aujourd’hui il y a séance de gymnastique. Au programme notamment : grimper à la corde sous le préau. Nous passons quatre par quatre… puisqu’il n’y a que quatre cordes ! Dans la classe nous sommes une trentaine. Que des garçons à cette époque. Nous voilà donc environ vingt-six assis en tailleur à contempler les quatre grimpeurs en action. C’est bientôt mon tour. Ça y est, je suis au pied de la corde. Je l’empoigne le plus haut possible. Je la place entre mes chaussures et mon calvaire débute. Je galère pour m’élever le long de la corde. J’ai beaucoup de mal à la serrer entre mes pieds et à me hisser à la force des bras. Lever les genoux pour coincer la corde un peu plus haut m’est très pénible. Je dois être à à peine plus d’un mètre du sol quand je ressens des fourmillements très agréables dans le bas du ventre. C’est très bon, j’ai envie de m’arrêter pour en profiter, mais je me force quand même à persévérer dans mon ascension. Je progresse peu, mais quelles sensations … Et bientôt je me sens bien, très bien. J’ai l’impression que des spasmes me secouent tout le corps et qu’une vague de plaisir m’envahit jusqu’au bout de la queue. La tête me tourne et mon cœur bat très fort. Malgré les exhortations du prof. pour que je continue à monter, je reste figé et collé à la corde, en plein orgasme sec (ce sont des mots que j’ignore alors, comme d’autres utilisés avant et plus loin…). Quand la jouissance se dissipe, je redescends doucement et ne pense plus qu’à renouveler l’expérience, tant ça a été bon. Ce sera pour une autre fois. Je retourne à ma place m’asseoir en tailleur.



C’est au tour de quatre autres dont mon copain Paul, voisin de table en classe, qui a un an de plus que moi. Il est très performant au grimper à la corde, mais s’arrête à un peu plus de deux mètres du sol. Comme moi il s’immobilise de longs instants avant de redescendre… sur terre. En passant près de moi pour reprendre la position assise, il se touche la nouille au travers du short et me glisse en souriant : « Ça chatouille ! »

Je viens de comprendre que comme moi il a joui, et je suis impatient d’être à la prochaine séance de… recherche du plaisir !



C’est le retour en classe. Il y a trois rangées de double pupitre avec encriers. Assis à droite au deuxième rang dans la rangée du milieu, notre copain commun Sylvain nous appelle discrètement pour nous montrer sa nouille, moment jouissif que Paul et moi attendons par-dessus tout le plus souvent possible. Nous sommes tous deux au deuxième rang de la première rangée, côté couloir, et la “maîtresse”, proche de la retraite et vissée à la chaise de son bureau placé sur la haute estrade, ne peut pas voir ce que fait Sylvain. Assis à ma gauche, Paul est plus près de Sylvain que moi, aussi je me rapproche de mon voisin pour être aussi aux premières loges.



Ça va commencer. Sylvain, l’œil coquin, se tourne un peu vers l’allée qui nous sépare et, par l’échancrure de son short remonté à droite, il sort pour nous sa bite en faisant le maximum pour bien nous la faire admirer. C’est une jolie saucisse plus grosse que les nôtres. Peut-être parce que Sylvain a un an de plus que Paul. Nous nous délectons du spectacle, une main appuyée sur notre entrejambe. Mais il ne faut pas abuser des meilleures choses et la séance de voyeurisme doit assez vite prendre fin. Ce qui est stupéfiant quand même, c’est que personne dans la classe ne semble nous avoir repérés, ou alors ils apprécient aussi la scène mais veulent garder le silence !



C’est l’heure de la récréation. Dans le couloir en sortant de notre salle, je vois Sylvain qui parle à Paul… qui vient peu après me dire :



« Sylvain nous propose de l’accompagner dans une cabine des toilettes pour mieux nous faire voir sa bite, mais nous devrons aller avec lui à tour de rôle pendant que l’autre gardera la porte, qui n’a pas de loquet.

- Ben… d’accord ! Euh…tu y vas le premier ?

- Ça marche ! »



À peine arrivés dans la cour déjà bien remplie, Sylvain court pour entrer dans une cabine, Paul l’y rejoint une minute après, puis je m’approche pour garder la porte.

Le temps passe, ça me semble une éternité. Enfin voilà mon Paul qui sort, un sourire éblouissant aux lèvres :



« Putain, j’regrette pas, allez, à toi, vite ! »



J’entre aussitôt, mais la cour est si animée et si bruyante que personne ne paraît avoir remarqué notre manège.



« Bon, Christophe, baisse ton short et ton slip, je fais pareil.

- Euh… Ben… d’accord ! »



Nous nous retrouvons vite face à face, la bite à l’air. Je suis tellement excité que j’ai l’impression que la mienne est devenue très grosse. Je ne l’ai jamais vue aussi gonflée ! Je suis envahi par un grand frisson de plaisir : je suis en extase devant la queue de Sylvain, plus imposante que la mienne.



« Tu veux la toucher, Christophe ?

- Je peux, Sylvain ?

- Mais oui, ne te gêne pas… Tu sais, le plaisir est aussi pour moi ! »



Je me lance, je la caresse, je la tripote, je la prends à pleine main, je la malaxe, je la serre, je la décalotte, j’ai envie de la lécher, mais je n’en fais rien… Je crois que ma poitrine va éclater… Puis il repousse gentiment ma main et commence à faire des va-et-vient sur ma propre bite. Je me laisse faire en me demandant ce qui m’arrive. Après un certain temps, j’ai l’impression qu’il accélère le mouvement de sa main, me décalottant le plus possible à l’aller, et je me sens de mieux en mieux, comme étourdi, ébloui, adossé à une paroi de la cabine. Un étrange fourmillement délicieux se répand dans mon corps et bientôt je gémis, je gémis fort ! Je me lâche ; le bruit de la cour couvre ma voix, je râle de plaisir ! J’ai l’impression que des saccades agitent ma bite. Sylvain l’a lâchée et c’est maintenant moi qui la serre, accroupi, alors que mon plaisir décroît lentement. Sylvain me regarde, il me sourit, il semble plutôt content de lui, manifestement heureux de ce qu’il vient de me faire découvrir. On se rhabille vite fait. Je sors et retrouve Paul. Nous nous éloignons et Sylvain nous rejoint. La sonnerie retentit bientôt et nous allons nous mettre en rang.



En classe, Paul me glisse à l’oreille :



« Alors, avec toi aussi, il a fait joujou avec ta bite et ça t’a fait comme quand on grimpe à la corde ?

-Oh putain, oui ! Qu’est-ce que c’était bon !... Et toi ?

-Pareil !...Tu n’as pas envie qu’on le refasse ici, en classe ?

-Et la maîtresse ?...

-Elle ne bouge jamais de sa chaise et elle ne peut rien voir sous nos pupitres !

-Alors on y va, mais il va falloir être discrets quand même ! »



Paul est droitier et moi gaucher ; nous sortons nos bites de l’échancrure du short, lui à droite et moi à gauche. On ne les reconnaît plus tant elles paraissent avoir grossi. Il faut dire qu’on est bougrement excités ! Nous commençons à nous masturber en cadence, lentement d’abord puis plus rapidement, nos coudes se touchent parfois, jusqu’au moment où nous jouissons pratiquement ensemble et en silence, malgré l’envie folle de brailler au moment de l’orgasme. Les séances de masturbation vont nous réunir souvent durant la suite de cette année scolaire, Sylvain, Paul, moi et…aussi quelques autres, initiés par nous !



Les mois et les années passent…

En quatrième, seuls Sylvain et moi sommes dans la même classe, dans le même lycée (aujourd’hui on dit : “collège”). Aucuns de nos collègues masturbateurs ne nous avaient suivis en sixième dans notre établissement.

J’ai maintenant treize ans et Sylvain quinze, bien sûr nous sommes à chaque cours côte à côte et nous allons souvent l’un chez l’autre. J’ai pour ma part lors des orgasmes quelques émissions d’un liquide collant plutôt transparent qui sort de ma queue, alors que Sylvain émet quant à lui quand il éjacule quelques jets de sperme bien épais et bien blanc. Dans nos expériences de nouveaux jeux sexuels, nous nous sommes vite rendu compte que l’un pouvait jouir très fort en se masturbant dans la bouche de l’autre, c’est ainsi que l’on a réinventé la position du soixante-neuf ! Que d’orgasmes extraordinaires je vis quand je branle ma bite décalottée dans la bouche bien enveloppante de Sylvain… Et quel bonheur pour moi d’avaler goulûment son sperme chaud qui gicle de sa belle grosse bite quand il s’est masturbé dans ma bouche !



Les mois et les années passent… :ejac:
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allyoucanmast
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Re: Le grimper à la corde : de l’enfer au paradis

Message par allyoucanmast »

Très excitant, merci :ejac:
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JYR
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Re: Le grimper à la corde : de l’enfer au paradis

Message par JYR »

On doit avoir dans les mêmes ages. Je suis de 1954, en CM2 en 64/65. vers dix ans, à l'époque de l'école primaire je me souviens pas avoir vu un copain qui faisait de l'exhib, en classe. belle découverte pour toi. Je me rappelle que cela m'arrivait de bander sans raison, je ne comprenais pas. Mon slip m'enfermait, me gênait, ma bite me faisait limite mal. J'avais alors ma culotte courte tyrolienne que je portais la plus part du temps. Je préférais ne rien avoir dessous, mais mes mes parents (surtout ma mère...),pour ne pas avoir de remarque des instits, voulaient que j'aie un slip pour aller à l'école, alors que les jours où je restais à la maison, je n' en mettais pas et je pouvais me raidir libre sous ma culotte.

Plus d'une fois ma mère nous a dit à mon frère et à moi,quand on avait pas de slip, de faire attention, de serrer le jambes .

A l'époque, les entrejambes des culottes courtes étaient larges et bien courts. Quelque fois l'élastique du slip était un peu lâche et il glissait ressortant par une jambe de culotte qui laissait alors paraitre le bas du slip et parfois le reste.

Ça ne m'étonne pas que ton copain ait pu facilement sortir sa saucisse par le coté.

Mais en classe, il fallait oser...
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