cool a écrit : ↑jeu. 29 sept. 2005, 17:08Jaimerais savoir s'il ya des trucs pour éviter d'avoir d'érection lors d'une visite dans les douches des vestiraires. C'est bizarre mais étant hétéro, j'ai peine et misère à garder le controle sur mon érection. Y a t-il des hétéros pour qui c'est pareil aussi? Quoi faire pour pouvoir se laver aussi après la gym sans se faire regarder de travers par ceux qui reste au repos? Ou est-ce que tout le monde est en érection lors des douches communes ?
En général le problème est résolu très jeune. La dernière étape de la puberté c'est l'installation de la régularité. Chacun a un rythme personnel unique. Des érections intempestives prouvent un nombre très insuffisant d'éjaculations.
J'ai été en short court jusqu'à un âge très avancé. Extrêmement pudique de naissance jusque vers 25 ans. Et à une époque de répression totale de tout ce qui était nudité et sexe. Il ne fallait pas s'amuser à avoir des érections n'importe où !
Tant que tu bandes facilement n'importe où ça veut dire que tu n'éjacules pas assez souvent. C'est comme ça que tu trouves ton rythme personnel.
En ce qui me concerne je suis arrivé très rapidement à trois éjaculation par jour, 365/365, matin, midi et soir très régulièrement. De mes 13 ans jusqu'à 30 ans. Ma puberté avait commencée à 12 ans.
De nos jours les jeunes ne savent plus ...
La circoncision totale, c'est à dire la seule vraie, retarde les érections. Encore un avantage.
J'ai eu 12 ans en février. Premières démangeaisons en mars. Intenables en mai. Première jute en juin en revenant de la piscine de la ville. Première érection en août.
Masturbation tous les soirs en septembre. Comme mes érections dans la journée continuaient j'ai rajouté une nouvelle masturbation tous les matins en plus de celle tous les soirs. Et comme je continuais à bander dans la journée très facilement, j'ai rajouté une troisième masturbation tous les midis, en plus de celles tous les soirs et tous les matins.
A partir de ce moment j'ai compris que j'arrivais à mon rythme personnel et que c'était ce qu'il me fallait. Je n'avais pas encore 13 ans.
D'autant plus que si je ne pouvais pas me branler le soir j'étais sûr d'avoir une pollution nocturne importante dans la nuit.
C'est ce qu'on appelle l'installation de la régularité.
Premiers poils au sexe à la base du membre et au dessus en direction du nombril. Une petite touffe très frisée. Qui a grossie. et qui est descendue progressivement vers les deux cuisses.
Tous les matins ça venait très vite, en moins de un quart d'heure. Je m'excitais en regardant mes cuisses, assis tout nu au bord de mon lit.
Tous les midis je me branlais dans mon slip avant d'aller manger. Je la sortais bien raide, et je la remettais dans mon slip pour décharger. Si quelqu'un venait je pouvais la remettre en place vite fait, et reprendre après. J'avais une demi heure.
Mes parents habitaient à quelques minutes de mon collège et je rentrais tous les midis. Ma chambre se trouvait en hauteur sous les toits et sur le côté de la maison de mes parents.
Tous les soirs pendant une heure entre 21h et 22h. Tout nu dans ma chambre et jamais sous mes draps.
Comme ça jusqu'à 30 ans 365/365. A 30 ans j'ai commencé à coucher régulièrement sans vivre avec quelqu'un, ma cadence a augmentée.
Mais très rapidement mes douleurs au sexe, là où j'ai été opéré, sont revenues et tout a changé définitivement. Et sont devenues très très inquiétantes. Ces mêmes douleurs très fréquentes font partie des premiers souvenirs de ma vie. Franchement refroidissantes. Entre autres des douleurs circulaires tout autour de la couronne. Là où les déchirures pourraient se produire.
Me donner du plaisir oui, mais en éjaculant beaucoup moins souvent. Car au moment de l'éjaculation le membre atteint une dureté et une dilatation extrême, unique à ce moment là, qui distend et étire les cicatrices.
La régularité, c'est à dire le rythme personnel, est très différent selon chacun. Tous les soirs c'est très fréquent. Ca peut être une fois par semaine, ou tous les 3 jours. Ca peut être beaucoup plus souvent.
Pour information, à l'attention de la jeunesse qui ne sait pas ou qui ne sait plus. Car très mal informée. Et trompée par une nouvelle forme de société qui s'égare.
On m'a toujours dit, les gens compétents en particulier que circoncis comme je l'étais ça changeait tout.
Il faut savoir aussi que le corps a des signaux d'alarme.
Si chacun a son rythme personnel, l'organisme de chacun a ses signaux personnel aussi, qui indique à chacun les limites que son corps ne peut pas dépasser. Et qui sont différentes selon chacun.
Donc pas de risques d'abus. Sinon le corps manifesterait son refus par différents signaux. Douleurs, échauffements, etc.
J'ai été d'autant plus concerné par la question que ma mère m'a imposé de mes 10 ans jusqu'à mes 18 ans, toutes les années 60, le premier slip de bain en matière synthétique arrivée en France. La première matière synthétique pour l'habillement a été le nylon. D'abord pour les bas. Dans la 2ème moitié des années 1950.
Ma mère m'a présenté mon nouveau maillot je venais d'avoir 10 ans à la fin des années 1950. Avec un certain sourire En le tenant avec les doigts de ses 2 mains. Elle m'a dit : la vendeuse que tu connais, la mercière madame X, m'a déclaré "plus c'est petit mieux ça vaut !". Dans ces années là les grandes surfaces n'existaient pas et le petit commerce triomphait. Dans l'ambiance répressive de l'époque chacun trouvait sa clientèle à sa façon, et tout le monde trouvait ça très bien. La contestation sociale souterraine s'organisait derrière les apparences. Dans l'après guerre très pauvre toutes les mères de famille s'improvisaient couturière, la mienne était couturière quasiment professionnelle. Et fréquentait de très près cette mercière. Je me souvient un jour m'être retrouvé uniquement en grand slip coton blanc Petit Bateau fermé mailles côtelées 2x2 au milieu des vendeuses sous prétexte de choisir un pantalon. Mon slip prolongé était très usé, comme toujours dans ces années d'après guerre. J'ai eu beaucoup de succès au milieu de ces dames et demoiselles. l'essayage organisé par la mercière et par ma mère, ravies, s'est prolongé. Ce dont je me serais bien passé ! Dans les années 60 ces dames se tenaient informées entre elles de l'intimité de leurs maris et de leurs fils. La mercière était au courant de ma pudeur extrême.
D'une pudeur extrême, jamais je n'oublierais le "Plus c'est petit mieux ça vaut !". Neuf étés de suite, j'ai porté uniquement ce slip de bain bleu clair, en nylon ultra fin non doublé, que ces dames m'organisaient toujours trop petit. En réalité il ne cachait absolument rien. On me voyait tout.
Dans ces années là les seuls sports possibles, étaient le vélo, la piscine, et les parties de foot. Autrement dit la piscine tout le monde y était toujours sans arrêt, souvent des après midi entiers. Et pas seulement pour nager.
Dans une ville de 30 000 habitants très isolée en pleine campagne, où beaucoup d'inconnus venaient de très loin pour des distractions intimes clandestines. Le vrai tourisme en pleine nature servait de prétexte pour un autre tourisme clandestin. Tout le monde le savait. En plus pour l'économie de la région c'était très intéressant. Exactement comme le naturisme de nos jours.
j'ai été une attraction à la piscine pendant 9 ans. Je n'étais jamais seul. C'était du harcèlement. En cm2 et au lycée, pendant 9 ans, jusqu'à mes 18 ans les copains se demandaient entre eux quel jour j'allais à la piscine pour profiter du spectacle.Dans la rue les jeunes garçons qui m'avaient vu à la piscine m'appelaient "gros cul" et ne ménageaient pas leurs commentaires. "Tu dois te branler beaucoup pour avoir des cuisses aussi poilues à ton âge !". Tout le monde savait que j'en avais une petite. La forme de mon gland complètement décalotté par l'opération, était très visible sous le nylon bleu. On me suivait aux urinoirs pour essayer d'en voir un peu plus.
Il est évident que toute forme d'érection quelle qu'elle soit, était impensable.
Ma mère et sa mercière m'ont imposé des shorts courts jusqu'à mes 18 ans. Et dans les années 60 ça voulait dire ultra courts. Le vélo me donnait de grosses cuisses et de grosses fesses malgré ma minceur réelle. Mes cuisses sont devenues très poilues avant mes 14 ans. Quand j'avais 15 ans une dame de ma famille a déclaré à ma mère en ma présence, qu'un pantalon m'irait beaucoup mieux pour protéger la moralité publique. La dame en question était catholique très pratiquante et ma mère lui a répondu par un large sourire.
Au début des années 70, j'avais 23 ans, j'ai eu une forte émotion. Dans la rue devant moi j'ai découvert un jeune garçon avec sa mère avec un short ultra court à l'ancienne. Les plis de ses 2 fesses dépassaient largement sous son short. Je me suis reconnu.
Ils savaient que avant mes 15 ans c'était inutile d'essayer. Mais à partir de mes 15 ans et pendant 4 ans jusqu'à mes 18 ans, ma raison et ma volonté devenant plus fortes, plusieurs de mes copains, souvent plusieurs fois en 4 ans, m'ont demandé de baisser mon slip devant eux. Parfois en me proposant la réciproque pour m'encourager. La piscine était l'endroit idéal. "Tu as un maillot qui ne cache rien, on te voit tout.Tu le sais très bien. Ca ne fera pas beaucoup de différence pour toi si tu le baisses complètement".
Avant l'arrivée de la poliomyélite vers 1963, il y avait partout uniquement des baignades à la sortie des villes. Souvent avec des bassins en ciment reliés directement à la rivière à 20 mètres. C'était le cas dans la ville de 30 000 habitants isolée en pleine nature où mes parents étaient arrivés en 1947, tout à fait par hasard et uniquement pour raison professionnelle. Dans la ville de mes parents, elle se trouvait en pleine nature et à l'entrée de bois qui servaient de vestiaires. On voyait très souvent à n'importe quelle heure des gens de tous âges en slip de bain, quitter la baignade à deux ou à plusieurs, pour s'enfoncer dans les bois. Tout le monde savait ce qu'ils allaient faire !
Dans ces années d'interdiction épouvantable de absolument tout, les bois à la sortie des villes étaient des lieux de liberté sexuelle. Tout comme les baignades et les wc publics. Et ça a duré toutes les années 1950, 60 et 70.
On pouvait facilement accéder à l'intérieur de ces bois aussi depuis les petites routes autour. Des sentiers parcouraient ses bois et conduisaient à des endroits aménagés en pleine nature. Pour des ébats sexuels clandestins.
Il y avait aussi des maisons abandonnées. L'équivalent maintenant de Urbex et des friches industrielles. Sauf que pendant les 30 ans qui ont suivis la guerre de 40, la pauvreté était totale partout. le chômage et la drogue n'existaient pas, on ne savait pas ce que c'était. Comparé à aujourd'hui il n'y avait pas d'étrangers en France. Il y avait seulement 45 millions d'habitants. Donc dès qu'une maison était réputée abandonnée, en un temps record absolument tout l'intérieur disparaissait, complètement pillé par des inconnus, pour être utilisé ailleurs. Toutes les fenêtres, portes, et huisseries étaient démontées et emportés. Très rapidement il ne restait que le gros oeuvre, uniquement que la maçonnerie et les escaliers.
Très vite ces maisons étaient aménagées bénévolement par des inconnus pour des rencontres libertines clandestines. Des vieux meubles étaient amenés, des cartons étalés partout sur les sols. Les murs étaient recouverts de dessins obscènes pour mettre dans l'ambiance.
Nos ainés nous emmenaient souvent dans les bois pour espionner les couples pendant leurs ébats. Et ils nous emmenaient dans les maisons abandonnées : "vous voyez ici c'est comme dans les wc publics".
En visitant ces maisons, très souvent ils me disaient à moi personnellement en présence des autres : "Ce serait bien si tu venais ici te mettre à poil !". "Ce serait bien si tu acceptais de venir ici baisser ton pantalon devant les autres".
Beaucoup trop pudique, j'ai toujours refusé toutes ces propositions.
Personne ne savait que je me branlais 3 fois par jour, matin, midi et soir 365/365 depuis mes 12 ans et demi. Mais quantité de gens se doutaient de quelque chose. Et d'une vie intime pas comme les autres.
Les seules qui le savaient c'était ma mère, et ces dames, nombreuses, à qui elle en a parlé.
A cause de l'arrivée de l'épidémie de poliomyélite vers 1963, dans toute la France les baignades au bord des rivières à la sortie des villes ont été remplacées d'urgence par des piscines javellisées. L'ambiance est resté la même. Et les bois autour aussi avec leurs maisons abandonnées.
Celles ci offraient de nouvelles possibilités. Surtout dans l'après guerre avec un manque total de personnels et de surveillance. Le voyeurisme aux urinoirs devenait systématique mais surtout les vestiaires avec cabines individuelles. Dont les cloisons étaient percées habillement de petits trous partout, pour observer l'intimité du voisin. C'est arrivé que des trous soient percés de toute évidence par les professionnels chargés de l'entretien. Dans toutes les cabines, pendant les heures de fermeture, avec des outils et en prenant des mesures. Et restés intacts définitivement.
Possibilité de se branler seul ou à deux en se rhabillant. Et donc de se faire griller par un voyeur. Avec un maillot de bain comme j'en avais un, on me suivait quand j'allais me rhabiller pour essayer de regarder par un trou.
60 ans après je peux le dire : je me branlais dans la cabine à chaque fois en me rhabillant. C'était tout le monde. Opéré comme je l'étais j'étais toujours très long.
Pourquoi construire des vestiaires aussi grands avec autant de cabines, sans aucune surveillance possible, sachant très bien ce qui allait arriver. Exactement la même question avec les wc publics. Dans une société hyper répressive et appauvrie par l'après guerre. Des cabines pouvaient rester fermées pendant des heures, tout le monde trouvait ça très bien.
Bien des fois en sortant d'une cabine je me suis retrouvé nez à nez avec un voyeur qui voulait voir quelle tête allait avec ce qu'il avait observé plus bas pendant trois quart d'heure. Je suis devenu rouge écarlate une quantité de fois pendant 4 étés.
Ca arrivait souvent en rentrant dans une cabine pour se rhabiller, de se retrouver les pieds nus dans une grande flaque de sperme. Parce que les précédents venus se rhabiller, s'était déversés sur le carrelage. Les tests ADN et les caméras de télésurveillance n'existaient pas encore. En l'absence de tout personnel la liberté était totale. Quand deux s'enfermaient ensemble dans une cabine, tout le monde savait ce que ça voulait dire. Se mettre dans la cabine voisine et c'était le spectacle silencieux assuré. Se rhabiller à deux c'est ce que j'ai souvent fait, mais dans les années 1980.