Freeballing
Re: freeballing
un joli cul attirant et des 'jouets' par transparence ...
pourtant rien n'est 'montré' !
shocking ! dirait-on en GB ! (grosse bite)
pourtant rien n'est 'montré' !
shocking ! dirait-on en GB ! (grosse bite)
Re: freeballing
on voit bien la queue (sauf le gland) et les couilles par transparence.
belle photo;
C'est toi weeby sur la photo?
belle photo;
C'est toi weeby sur la photo?
Re: freeballing
Depuis que j'ai emménagé dans mon nouvel appart, je renoue avec le plaisir d'être nu.
L'appartement possède 3 façades et une terasse partout. Il n'y aucun vis-à-vis. Même avec des jumelles, personne ne peut me voir. Je connais très peu de logements où il est possible de circuler nu sans être vu.
Alors, en soirée ou les weekend après la douche, je ne suis pas forcément pressé d'enfiler mes vêtements. Dehors, sentir la brise faire frémir tous les poils du corps est vraiment sympa !
Je déplore toutes les fois où dans mon ancien logement j'ai remballé de belles érections toutes palpitantes dans un sous-vêtement...
L'appartement possède 3 façades et une terasse partout. Il n'y aucun vis-à-vis. Même avec des jumelles, personne ne peut me voir. Je connais très peu de logements où il est possible de circuler nu sans être vu.
Alors, en soirée ou les weekend après la douche, je ne suis pas forcément pressé d'enfiler mes vêtements. Dehors, sentir la brise faire frémir tous les poils du corps est vraiment sympa !
Je déplore toutes les fois où dans mon ancien logement j'ai remballé de belles érections toutes palpitantes dans un sous-vêtement...
Re: freeballing
Je m'adonne au freeballing très souvent. Je ne savais pas que l'on appelait celà ainsi.
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- Messages : 35
- Inscription : ven. 11 nov. 2016, 14:30
Re: freeballing
J'aime aller dans les magasins de bricolage ou au supermarché en survêtement sans rien en-dessous. J'adore capter le regard de celui ou celle qui m'observe l'entrejambe en remarquant que ça ballotte et que je ne porte pas de sous-vêtement. Et qui du coup, parfois, essaye de mater sans se faire remarquer. Je ne cache pas que dans ce cas, j'ai tendance à avoir une bonne demi molle et que, du coup, ça renforce la bosse du pantalon, donc les regards insistants et les coups d’œil lubriques.
- Larry-Keith
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- Inscription : jeu. 10 oct. 2019, 14:01
- Localisation : Brétigny sur Orge
Re: Freeballing
Moi j'adore cette sensation de liberté et le contact de ma verge sur ma cuisse. Je suis rarement sans sous-vêtements car je porte des caleçons de coton doux très larges et courts. Du coup avec ou sans finalement c'est pareil. Pas d'irritations et je ne porte mes sous-vêtement au pantalons qu'une seule journée pour respecter une bonne hygiène. Vous arrive t il de porter des souvent usés, déchirés? Mais propre.
Re: Freeballing
Larry-Keith a écrit : ↑ven. 11 oct. 2019, 14:10
Moi j'adore cette sensation de liberté et le contact de ma verge sur ma cuisse. Je suis rarement sans sous-vêtements car je porte des caleçons de coton doux très larges et courts. Du coup avec ou sans finalement c'est pareil. Pas d'irritations et je ne porte mes sous-vêtement au pantalons qu'une seule journée pour respecter une bonne hygiène. Vous arrive t il de porter des souvent usés, déchirés? Mais propre.
Perso, je ne change de slip que 2x par semaine, car n'en porte que pendant les heures de bureau :
- en soirée je suis à la salle de sport, en training avec suspensoir et/ou short, ou bien je passe la soirée chez moi, nu.
- j'ai aussi droit à des journées de travail à domicile, où je suis également en tenue de sport ou bien nu.
L'hygiène c'est important, mais il ne faut pas pour autant verser dans une logique aseptisée... (D'autant que c'est moi qui m'occupe de mes propres lessives...)
La partie avant d'un slip porté durant 2 ou 3 jours dégage une odeur musquée qui sent rudement bon ! Un mélange de pré-foutre, d'urine et de sperme...
A.
Re: Freeballing
L'ai pratiqué très jeune, comme tous ceux qui se sont exprimés précédemment. Par contre faut avoir la maîtrise, ne pas se trouver en érection dans certaines situations. Le minimum de vêtements sur sois!... Oui on y trouve de bonnes sensations et quand il fait chaud c'est bon pour la santé....
- Larry-Keith
- Messages : 14
- Inscription : jeu. 10 oct. 2019, 14:01
- Localisation : Brétigny sur Orge
Re: Freeballing
En effet, c'est bon pour la santé et aussi la fertilité. Personnellement cela m'arrive de n'être sans rien dessous hivers comme été. L'important étant de se sentir bien dans sa peau et donc dans les tissus qui recouvrent la peau. L'érection, en général c'est moi qui choisi les situations qui me font bander alors que je soit dans mes caleçons ou sans, il n'y a pas de différence. J'ajoute le côté pratique en cas d'envie pressante de sortir mon attirail sans avoir à fouiller, ou pour en jouer.
Re: freeballing
J'étais très petit quand j'ai commencé à faire du freeball, donc sans slip, avec mes parents. J’ai été élevé à ne pas porter toujours des sous-vêtements. J’ai donc toujours su que c’était possible…et agréable.
C'était une habitude venant du côté de mon père, mais bien sûr, notre mère l'avait adoptée pour ses enfants…et pour elle. Mon père avait été élevé lui-même à une époque où l’usage des caleçons et des slips était loin d’être général, y compris pour les enfants. Il avait convaincu notre mère des habitudes de sa famille. …L’un et l’autre n’en portaient pas toujours au travail, pas souvent à la maison, et jamais en été en vacances. ... C'était plus simple le matin ; mon père n'a jamais eu de slip ou autre sous-vêtement avant l'âge de seize ans. Donc , pour lui, normal pour les gosses. .. Cela faisait un peu moins de linge, nous n'avions pas encore de machine à laver.
Quand j'essaie de me souvenir de ces temps anciens, je peux dire que je ne me souviens pas de beaucoup de choses, mais je me souviens de ça.
Mon tout premier souvenir est celui de la plage, où ma mère m'a fait enfiler un short après avoir enlevé mon slip de bain mouillé, plein de sable. Ces mêmes années, je me souviens aussi d'avoir été nu debout sur mon lit le matin, et que ma mère m'a fait enfiler une culotte courte directement. Mais ce dont je ne me souviens pas, c'est de mon âge à cette époque... L’été de mes quatre ans ???
À cet âge, on ne se pose pas beaucoup de questions.
Quand nous étions à la maison le week-end ou pendant les vacances, mon frère et moi on n'avait jamais de slip, en short ou en culotte longue. ... A la campagne mes grands-parents trouvaient ça normal que les gamins portent leur culotte ou leur short directement. A cette époque, dans les années 60, j’étais en culottes courtes les trois quarts de l’année. En vacances chez eux, je ne portais jamais rien dessous, même en culotte longue.
Et je dois dire que j'aimais bien cette façon de faire, j'ai vite préféré sans sous-vêtements. Je me rebellais quand je devais mettre des slips pour aller à l'école, après un long été sans.
Je suppose que j'ai vite été un peu vicieux, et curieux sur les autres avec cela, car je "vérifiais" déjà les jambes des shorts vers le haut. Cela s'est produit plus d'une fois sur des copains, et sur des garçons plus âgés que moi, j'ai vu ce que je n'étais pas censé voir. A l’époque, on n’était pas les seuls comme ça, en été. .
Quand j'étais gamin, ce n'est pas tout à fait hier, avec mon frère, nous n'étions donc pas les seuls, même si ce n'était plus déjà courant, mais cela n'était pas exceptionnel non plus. Les shorts étant bien courts et souvent larges aux jambes, cela pouvait se voir très vite, et plus d'une fois j'ai vu par l'entrejambe des culottes courtes des zizis à l'air libre, pour ne pas dire un peu plus tard des bites.
Le point d’orgue a été lorsqu'à sept ans, en CE1, il y avait deux jumeaux dans ma classe qui avaient des shorts en jeans, bien courts comme ça se faisait à l’époque. Ils étaient toujours à poils dessous. Ça se voyait en jouant à chaque récréation. J'étais jaloux, et je voulais aller à l'école comme eux. Mes parents, surtout ma mère, qui pourtant connaissaient ces jumeaux, n'ont jamais accepté cela, et comme j'avais insisté sans doute un peu trop, on m'avait menacé de m’acheter un martinet, si j’allais à l'école sans sous-vêtements.
Après cela, à l'âge du collège, j'ai commencé à aller sans slip sous ma culotte courte, qui avait des jambes plus serrées que des shorts. Ma mère a vu assez vite que je n'avais pas de sous-vêtements, mais elle n'a pas mal réagi et n'était pas fâchée. Elle m'a dit seulement que cela pouvait aller tant que personne du collège ne se plaignait de cela.
A peine plus tard, elle a même été la première dans une boutique (avant elle m’achetait mes vêtements sans que j’yparticipe, ou alors sur catalogue) à me faire réessayer ma première paire de jeans à poils , après m’avoir fait retirer le slip que j’avais ce jour d’hiver sous mon pantalon de velours (jusqu’ici, j’avais eu que des culottes longues en velours). Elle voulait être sure que le tissu de jean, rêche à l’intérieur ne soit pas un problème, car elle savait que je voudrais surement porter ces jeans sans rien dessous. Elle voulait être sûre qu’ils ne resteraient pas dans l’armoire parce que je les trouvais trop rugueux pour les porter sans rien en dessous.
Quand je lui ai dit que sans slip, c'était aussi très bien comme ça, elle m'a acheté les jeans. C'était effectivement encore mieux qu'avec le slip , la rugosité sur mes parties intimes n'était pas un problème, au contraire ça m’a même provoqué un bon début de durcissement de la bite, je m’en souviens. J'ai ensuite remis mon vieux pantalon de velours, directement, mon slip dans la poche. Ma bite s’est vite dégonflée.
Elle avait raison, j’ai vite porté ces jeans beaucoup plus souvent sans rien dessous à l'école, qu'avec slip. Il n’y avait alors guère que les jours de gym que j’en mettais. Un peu plus vieux, au lycée, elle se souciait plus du tout de ce que je mettais dessous (ou pas…).
Petits, en short, nos parents nous disaient quelque fois de serrer les jambes lorsque l’on n’avait pas de slip. Je n’ai jamais eu de réflexion à ce sujet par d'autres adultes, même ado, à un âge où l’on ne fait pas forcément attention, les shorts étaient pourtant nettement plus courts que maintenant.
Plusieurs fois des copains qui avaient vu mon matériel, m’ont posé la question. Je répondais que je me sentais mieux comme ça. Sans doute naturel et sûr de moi, je n’ai jamais été chambré méchamment; sans doute que ça faisait partie de mon personnage. Certains ont alors essayé.
Je n’ai jamais eu de réel problème et arrivé à l’université, je ne mettais pratiquement plus de sous-vêtements.
Dans ces âges, mes premières branlettes, ça a été évidemment été les mains dans les poches, le matériel à portée immédiate. Et pour gicler, il suffisait simplement d’ouvrir la braguette. Le problème était de bien se vider toute la bite, pour qu’après, ça ne coule pas (trop..), le long de la jambe, lorsque la bite était revenue au repos. En short en nylon, genre Addias ou Coq Sportif, qui servait aussi chez nous de maillot de bain vers 15/16 ans, c’était encore mieux, et plus d’une fois, j’ai commencé à suinter dedans, bien plus facile pour s’essuyer avec la main.
Avec un slip, je me sentais trop serré, enfermé, et ça faisait même presque mal en bandant ; ma mère m’ a alors acheté quelques caleçons courts sur les conseils de mon père. Mais tout de même, rien dessous, quand c’était possible ,c’était encore mieux.
Ma femme avait évidemment entendu dire par les copains que je j’étais adepte du freeball (même si on utilisait pas alors ce mot là). Mais dès le premier jour où elle a mis sa main dans mon pantalon je l'ai laissée faire sans la prévenir et elle n'a effectivement pas trouvé la barrière d'un slip ou d'un boxer. Elle a été surprise, a rougi, mais était tout à fait ravie. Je me souviens encore de ses yeux à ce moment. Elle m'a dit qu'une telle chose était virile et audacieuse. Je lui ai répondu modestement que c'était une habitude familiale, ce qui l'a encore plus surprise. Un jour, alors que nous étions un peu plus engagés, le sujet s'est présenté devant ma mère, qui a confirmé que mon père faisait aussi du freeball, et que c'était une affaire de garçons.
Elle a vite découvert que dans les boutiques, j'essayais toujours les jeans et des shorts sans sous-vêtements. Encore une fois, elle a été surprise quand je lui ai dit que je le faisais déjà avec ma mère, mais après tout pourquoi pas, puisque c'est comme ça que je les porte.
Lorsque je travaillais, je portais des caleçons sous des costumes, car je trouvais que le tissu était plutôt mince par rapport aux jeans, mais vers la cinquantaine, j'ai rejeté tous les sous-vêtements, considérant qu'après tout, je pouvais être à poils en costume, pourvu que le tissu soit foncé. Maintenant que j'ai pris ma retraite, je ne porte plus aucun sous-vêtement.
J'ai toujours été surpris par le peu de gens ayant de nos jours cette habitude en France, ou alors , ils ne le disent pas, c'est très possible. J'ai l'impression que c'est plus acceptable (et osé…) pour une fille, que pour un garçon pour qui c’est vu quelque part comme homo, voire pervers…
Je crois qu'en fait en France ça c'est grandement perdu au fil du temps, contrairement aux Anglais ou Américains. qui ne s’en cachent pas
C'était une habitude venant du côté de mon père, mais bien sûr, notre mère l'avait adoptée pour ses enfants…et pour elle. Mon père avait été élevé lui-même à une époque où l’usage des caleçons et des slips était loin d’être général, y compris pour les enfants. Il avait convaincu notre mère des habitudes de sa famille. …L’un et l’autre n’en portaient pas toujours au travail, pas souvent à la maison, et jamais en été en vacances. ... C'était plus simple le matin ; mon père n'a jamais eu de slip ou autre sous-vêtement avant l'âge de seize ans. Donc , pour lui, normal pour les gosses. .. Cela faisait un peu moins de linge, nous n'avions pas encore de machine à laver.
Quand j'essaie de me souvenir de ces temps anciens, je peux dire que je ne me souviens pas de beaucoup de choses, mais je me souviens de ça.
Mon tout premier souvenir est celui de la plage, où ma mère m'a fait enfiler un short après avoir enlevé mon slip de bain mouillé, plein de sable. Ces mêmes années, je me souviens aussi d'avoir été nu debout sur mon lit le matin, et que ma mère m'a fait enfiler une culotte courte directement. Mais ce dont je ne me souviens pas, c'est de mon âge à cette époque... L’été de mes quatre ans ???
À cet âge, on ne se pose pas beaucoup de questions.
Quand nous étions à la maison le week-end ou pendant les vacances, mon frère et moi on n'avait jamais de slip, en short ou en culotte longue. ... A la campagne mes grands-parents trouvaient ça normal que les gamins portent leur culotte ou leur short directement. A cette époque, dans les années 60, j’étais en culottes courtes les trois quarts de l’année. En vacances chez eux, je ne portais jamais rien dessous, même en culotte longue.
Et je dois dire que j'aimais bien cette façon de faire, j'ai vite préféré sans sous-vêtements. Je me rebellais quand je devais mettre des slips pour aller à l'école, après un long été sans.
Je suppose que j'ai vite été un peu vicieux, et curieux sur les autres avec cela, car je "vérifiais" déjà les jambes des shorts vers le haut. Cela s'est produit plus d'une fois sur des copains, et sur des garçons plus âgés que moi, j'ai vu ce que je n'étais pas censé voir. A l’époque, on n’était pas les seuls comme ça, en été. .
Quand j'étais gamin, ce n'est pas tout à fait hier, avec mon frère, nous n'étions donc pas les seuls, même si ce n'était plus déjà courant, mais cela n'était pas exceptionnel non plus. Les shorts étant bien courts et souvent larges aux jambes, cela pouvait se voir très vite, et plus d'une fois j'ai vu par l'entrejambe des culottes courtes des zizis à l'air libre, pour ne pas dire un peu plus tard des bites.
Le point d’orgue a été lorsqu'à sept ans, en CE1, il y avait deux jumeaux dans ma classe qui avaient des shorts en jeans, bien courts comme ça se faisait à l’époque. Ils étaient toujours à poils dessous. Ça se voyait en jouant à chaque récréation. J'étais jaloux, et je voulais aller à l'école comme eux. Mes parents, surtout ma mère, qui pourtant connaissaient ces jumeaux, n'ont jamais accepté cela, et comme j'avais insisté sans doute un peu trop, on m'avait menacé de m’acheter un martinet, si j’allais à l'école sans sous-vêtements.
Après cela, à l'âge du collège, j'ai commencé à aller sans slip sous ma culotte courte, qui avait des jambes plus serrées que des shorts. Ma mère a vu assez vite que je n'avais pas de sous-vêtements, mais elle n'a pas mal réagi et n'était pas fâchée. Elle m'a dit seulement que cela pouvait aller tant que personne du collège ne se plaignait de cela.
A peine plus tard, elle a même été la première dans une boutique (avant elle m’achetait mes vêtements sans que j’yparticipe, ou alors sur catalogue) à me faire réessayer ma première paire de jeans à poils , après m’avoir fait retirer le slip que j’avais ce jour d’hiver sous mon pantalon de velours (jusqu’ici, j’avais eu que des culottes longues en velours). Elle voulait être sure que le tissu de jean, rêche à l’intérieur ne soit pas un problème, car elle savait que je voudrais surement porter ces jeans sans rien dessous. Elle voulait être sûre qu’ils ne resteraient pas dans l’armoire parce que je les trouvais trop rugueux pour les porter sans rien en dessous.
Quand je lui ai dit que sans slip, c'était aussi très bien comme ça, elle m'a acheté les jeans. C'était effectivement encore mieux qu'avec le slip , la rugosité sur mes parties intimes n'était pas un problème, au contraire ça m’a même provoqué un bon début de durcissement de la bite, je m’en souviens. J'ai ensuite remis mon vieux pantalon de velours, directement, mon slip dans la poche. Ma bite s’est vite dégonflée.
Elle avait raison, j’ai vite porté ces jeans beaucoup plus souvent sans rien dessous à l'école, qu'avec slip. Il n’y avait alors guère que les jours de gym que j’en mettais. Un peu plus vieux, au lycée, elle se souciait plus du tout de ce que je mettais dessous (ou pas…).
Petits, en short, nos parents nous disaient quelque fois de serrer les jambes lorsque l’on n’avait pas de slip. Je n’ai jamais eu de réflexion à ce sujet par d'autres adultes, même ado, à un âge où l’on ne fait pas forcément attention, les shorts étaient pourtant nettement plus courts que maintenant.
Plusieurs fois des copains qui avaient vu mon matériel, m’ont posé la question. Je répondais que je me sentais mieux comme ça. Sans doute naturel et sûr de moi, je n’ai jamais été chambré méchamment; sans doute que ça faisait partie de mon personnage. Certains ont alors essayé.
Je n’ai jamais eu de réel problème et arrivé à l’université, je ne mettais pratiquement plus de sous-vêtements.
Dans ces âges, mes premières branlettes, ça a été évidemment été les mains dans les poches, le matériel à portée immédiate. Et pour gicler, il suffisait simplement d’ouvrir la braguette. Le problème était de bien se vider toute la bite, pour qu’après, ça ne coule pas (trop..), le long de la jambe, lorsque la bite était revenue au repos. En short en nylon, genre Addias ou Coq Sportif, qui servait aussi chez nous de maillot de bain vers 15/16 ans, c’était encore mieux, et plus d’une fois, j’ai commencé à suinter dedans, bien plus facile pour s’essuyer avec la main.
Avec un slip, je me sentais trop serré, enfermé, et ça faisait même presque mal en bandant ; ma mère m’ a alors acheté quelques caleçons courts sur les conseils de mon père. Mais tout de même, rien dessous, quand c’était possible ,c’était encore mieux.
Ma femme avait évidemment entendu dire par les copains que je j’étais adepte du freeball (même si on utilisait pas alors ce mot là). Mais dès le premier jour où elle a mis sa main dans mon pantalon je l'ai laissée faire sans la prévenir et elle n'a effectivement pas trouvé la barrière d'un slip ou d'un boxer. Elle a été surprise, a rougi, mais était tout à fait ravie. Je me souviens encore de ses yeux à ce moment. Elle m'a dit qu'une telle chose était virile et audacieuse. Je lui ai répondu modestement que c'était une habitude familiale, ce qui l'a encore plus surprise. Un jour, alors que nous étions un peu plus engagés, le sujet s'est présenté devant ma mère, qui a confirmé que mon père faisait aussi du freeball, et que c'était une affaire de garçons.
Elle a vite découvert que dans les boutiques, j'essayais toujours les jeans et des shorts sans sous-vêtements. Encore une fois, elle a été surprise quand je lui ai dit que je le faisais déjà avec ma mère, mais après tout pourquoi pas, puisque c'est comme ça que je les porte.
Lorsque je travaillais, je portais des caleçons sous des costumes, car je trouvais que le tissu était plutôt mince par rapport aux jeans, mais vers la cinquantaine, j'ai rejeté tous les sous-vêtements, considérant qu'après tout, je pouvais être à poils en costume, pourvu que le tissu soit foncé. Maintenant que j'ai pris ma retraite, je ne porte plus aucun sous-vêtement.
J'ai toujours été surpris par le peu de gens ayant de nos jours cette habitude en France, ou alors , ils ne le disent pas, c'est très possible. J'ai l'impression que c'est plus acceptable (et osé…) pour une fille, que pour un garçon pour qui c’est vu quelque part comme homo, voire pervers…
Je crois qu'en fait en France ça c'est grandement perdu au fil du temps, contrairement aux Anglais ou Américains. qui ne s’en cachent pas
Dernière modification par JYP le mer. 10 févr. 2021, 13:09, modifié 1 fois.
Re: freeballing
Au travail non ou lors d'événements sérieux je ne le pratique pas mais en dilettante, loisirs suis adepte du freeballing. Vers la vingtaine ça été le moyen de me faire des copains qui reluquaient là où il fallait. Aussi lors d'occasions lubriques très pratique avec le minimum de vêtements... Aussi me souviens de balades en short court Adidas dans Paris années 80 90, où ceux qui avaient l'oeil se régalaient.. .. Aussi en survêtement où il fallait se maîtriser pour ne pas bander, et si ça arrivait mettre la bite en hauteur en s'assurant que la veste la couvre.... Ça m'excite d'être vêtu au minimum et ça facilite certaines aventures imprévues que j'ai déjà relatées ici, même récemment.... Pratique très érotique, une copine aussi se baladait uniquement vêtue d'une robe..... Je pense que ce n'est pas si rare que cela....
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Re: freeballing
Vous avez posté 2 fois le même message, du coup, je ne sais pas lequel conserver et lequel supprimer. Peut-être garder celui-ci, vu que l'autre c'est avant tout un sondage ?
Re: freeballing
A défaut d'endroits naturistes, c'est la seule alternative pour se sentir "libre"...
Utiliser une fine cordelette ou du fil à coudre pour garder le gland décalotté, de façon à savourer le contact contre le nylon du short.
Ici, le premier short du mec est équipé d'un filet suspensoir. Le second, le blanc, est libre :
https://www54.zippyshare.com/v/Yc1gxmDe/file.html
A.
Utiliser une fine cordelette ou du fil à coudre pour garder le gland décalotté, de façon à savourer le contact contre le nylon du short.
Ici, le premier short du mec est équipé d'un filet suspensoir. Le second, le blanc, est libre :
https://www54.zippyshare.com/v/Yc1gxmDe/file.html
A.
Re: freeballing
Je pense que c'est ton smartphone. Il ne faut pas s'inscrire sur Zippyshare.
Mais il faut cliquer à deux reprises car il y a une (voire deux) pubs d'abord.
Essaie sur un PC civilisé...
A.
Mais il faut cliquer à deux reprises car il y a une (voire deux) pubs d'abord.
Essaie sur un PC civilisé...
A.
Re: freeballing
En mode freeball tout le temps ici enfin presque puisqu'elles sont toujours dans au moins un ou deux bs !
Trop agréable de regarder les autres mecs en mode freeball dehors surtout sous un jogging ou de voir les mecs mater ton paquet qui balance librement et amplement sous le jogging pendant que tu marches !
Trop agréable de regarder les autres mecs en mode freeball dehors surtout sous un jogging ou de voir les mecs mater ton paquet qui balance librement et amplement sous le jogging pendant que tu marches !