jamais avec ge gros pd !

Ici, raconte tous tes fantasmes de branles imaginaires...
tib

jamais avec ge gros pd !

Message par tib »

J'avais 25 ans et je débarquais au fond d'une province pour mon premier boulot. Nous étions une dizaine de personnes dont D., un "vieux" (il devait avoir dans les 30 ans !) qui avait des manières efféminées. Assez fort et rond et de plus très poilu, mais blond, presque roux, ce qui faisait une toison assez jolie.

Sympa au demeurant. Qq temps après mon arrivée, il m'avait invité chez lui, dans son petit studio. Au mur, deux grands posters représentant deux statues : le David de Michel-Ange et une stature de femme dont je me souviens plus. J'étais jeune et ignorant (et je ne savais pas que ce David était une icone gay), mais j'ai ressenti un certain émoi devant ce beau gosse avec ces beaux attributs (émoi qui se renouvelle encore à chaque fois que je vois cette statue ou une reproduction). On discute de chose et d'autres, il me montre des petites statures en terre qu'il a faites, représentant des hommes, avec un sexe bien visible : " c'est la nature, c'est comme ça, je ne vois pas pourquoi on cacherait ça !". Il me dit qu'il dessine aussi, mais ne veut pas me monter ses dessins, car trop osés.

C'est tout. Nous travaillions parfois ensemble, mais il était toujours très correct. Un des collègues le traitait parfois de pd à cause de ces manières, mais il niait ou évitait avec de l'humour. Je n'étais pas du tout attiré par lui : dans mes fantasmes, il y avait des filles ... et (surtout ?) des garçons, mais plutôt à mon image : fin et non poilu. Et puis il faisait vraiment homosexuel et être intime avec lui me faisait peur (peur de tomber homo !).

Il est parti au bout d'un an et alors que nous étions en mission, il m'a avoué dans la voiture être bisexuel (pour moi bi à raison de 1%-99%), comme une confidence personnelle, mais sans aucune espèce d'avance ou de drague : un petit coming-out privé.

Voilà, je n'avais jamais été attiré par lui ni fantasmé sur lui, vraiment pas mon genre trop gros, trop poilu, trop pd.



Pourtant, en y repensant, l'histoire aurait pu être autre.

Ce matin là, je me rase délicatement le sexe et les bourses (pas de poil sur le torse), à fond pour que ce soit très doux.

Au boulot, l'air de rien, je vais vers lui et lui dit : "j'ai des problèmes d'eau chaude, Est-ce que je pourrais venir prendre rapidement une douchez chez toi ?"

"Ce soir ?" "Si ça te dérange pas, OK".

Le soir j'attends un peu (j'avais déjà mon sac prêt dans la voiture) et je vais chez lui.

Toc, toc, bonsoir, etc.

"Bon, je fais vite".

Je me place devant lui, qui prend l'air de ne pas regarder, et je commence un déshabillage striptease : je me déchausse, retire mes chaussettes (un homme avec ses chaussettes, c'est débandant), puis doucement le haut. Me voilà en pantalon torse nu et pieds nus. Je fais durer le plaisir, me tourne et fais glisser le pantalon. Je prends mon temps pour le plier et le mettre dans le sac, agitant discrètement mon (joli) petit cul.

Puis toujours lui tournant le dos, je fais glisser le slip et me dirige vers la douche.

"Ah, mon savon et ma serviette !" Et me voilà faisant marche arrière, à poil, et me penchant pour attraper tout ça dans mon sac, le joli petit cul bien dressé vers lui.

(S'il n'est pas sous pression, alors, il n'est vraiment pas pd !). Mais je n'entends aucun commentaire ...

Je me mets sans la douche, et avant d'allumer l'eau

"Tu es vraiment sympa, car resté sans se laver, ça ne peut pas durer longtemps"

Pas de réaction ... bizarre

"Oui, c'est vraiment sympa d'accepter que je me douche chez toi ... mais je ne vais quand même pas te demander de me laver le dos ..."

Et là, j'entends (enfin !)

"Oh, si ça peut aussi te rendre service ..."

"Non, non, c'était une blague"

"Mais si je te le propose ..."

"Bon, si ça te fait plaisir" (et à moi donc !)

Et je sens des mains d'homme sur mes épaules qui me savonnent doucement, puis qui descendent dans mon dos, toujours très doucement. Je commence à bander ...

Au bout d'un moment, je continue

"Tu peux aussi faire le bas du dos"

Et sans parole, ses mains descendent maintenant sur mes fesses, les caresses, les pétrissent doucement, puis remontent, reviennent. Ma trique est complète.

Plus de parole. Ses mains sont maintenant sur mes hanches et s'avancent vers mon sexe, mais elles l'encerclent sans le toucher avant de retourner sur mes fesses.

Au cours de va et vient, un petit doigt quitte la main de temps en temps et s'enfoncent entre mes fesses, puis repart, revient, ....

J'ai mal au sexe tellement je bande fort. Je ne dis rien et ne respire même plus.

Cela dure, dure et puis je dis : je vais me rincer !

Il se recule, je me rince, prends la serviette, commence à m'essuyer et me masquant le sexe, je me retourne vers lui. Il me regarde avec des yeux émerveillés : que c'est agréable.

Toujours "naturellement", je m'essuie le dos et me voilà devant lui, le sexe glabre et bien dressé devant lui.

Et là, il me dit "Tu es très beau, j'ai envie de te dessiner".

J'ai tout mon temps et suis prêt à rester longtemps ans cet état de grâce et de bandaison !

Il m'installe dans un fauteuil, dans une pose lascive et d'offrande, le sexe dressé entre les mains. Il se met devant moi et commence à crayonner. Délicatement, un de mes doigts caresse ma verge ou mes bourses et entretient ainsi la rigidité de l'image.

Très rapidement, il me dit "Voilà".

"Fais voir"

Il me le montre de sa place. Je me lève et vais vers lui toujours assis. Il me montre le dessin, très beau, sans que l'on voit le (mon) visage.

Mon sexe est à la hauteur de sa tête. Je ferme les yeux et je l'entends poser le papier et le crayon.

Et puis ...
tib

jamaos avec ce gros pd 2

Message par tib »

Et puis ...

je sens à peine sa bouche se refermer sur mon sexe. Je vibre entièrement, de tout mon corps, alors que je sens sa langue soulever mon prépuce (en érection, mon prépuce est à mi-gland) et fouiller doucement la base de mon gland. Je monte , je vibre, je monte, je vibre vers je ne sais où. Un doigt tout doux maintenant remonte l'intérieur de ma cuisse, en glissant à peine, jusqu'à la base des bourses. Un autre suit de l'autre côté, et cela continue.

Je ne sais plus où je suis, qui je suis : je suis un seul sexe en extase.

La pression se relâche et j'entends des vêtements qui se froissent.

Maintenant, je sens son bras sous mes genoux et l'autre derrière mes épaules. Toujours les yeux clos, je me laisse aller et il me prend dans ses bras.

Je m'accroche à son cou et me blotti contre sa poitrine. Je sens ma joue frotter contre ses poils. Je me laisse aller.

Il me pose sur son lit, reprend mon sexe dans sa bouche et recommence les caresses le long des cuisses et des jambes. Les doigts remontent maintenant vers le sillon des fesses et s'y enfoncent un peu. Alors que je suis toujours dans un érection extrême, entièrement dans cette sensation, je me sens cependant mon bassin, mes fesses se détendre, mes jambes s'écarter. Le doigt pénètre plus profondément et masse mon anus. Sans que je m'en aperçoive, il a du mettre quelque chose sur son doigt, var la sensation est très douce et je laisse enter ce doigt dans mon intérieur. Il fouille doucement.

La tension monte et cela continue alors que je monte et que je vivre de plus en plus.

Mais ce n'est pas assez : un flot d'orgasme m'envahit, me submerge, à tel point que je perds connaissance, en tous les cas, je perds toute notion de temps et d'espace.

Je ne sais combien de temps cela dure et je reviens à moi.

J'ouvre les yeux et le voit souriant, toujours me regardant avec une gentillesse et une admiration sanas limite.

Je murmure, inconsciemment : Merci.

Mais non, j'ai eu un plaisir immense à te faire monter au septième ciel.

Que puis-je faire pour te rendre la pareille ?

Mais rien !

Je n'ose pas te demander encore quelque chose.

Tu peux tout me demander, je te dirai pourquoi plus tard.

Je voudrais savoir ce qu'est un rapport anal.

Mais moi, je suis plutôt passif, ce n'est pas mon genre de dominer et de pénétrer d'autres garçons.

S'il te plait, j'aimerai partager cela maintenant avec toi.

A une condition ...

Il se lève part et revient avec un drôle d'objet, une sorte de poire avec un embout métallique.

Tiens, s'il et plait. Tu sais t'en servir ?

Non, c'est quoi ?

Une poire de lavement. Il m'explique comment l'utiliser.

Elle est prête. J'introduis l'embout dans mon anus et la vide.

Retiens toi le plus longtemps possible.

Je vais aux toilettes, me retiens et puis me vide avec une chaleureuse sensation de soulagement. Je me sens requinqué de m'être vidé le sphincter !

Maintenant ?

Non, attendons encore qq minutes. Effectivement, cela est nécessaire pour vidanger entièrement la future chambre de plaisir !

Je l'aide à se lubrifier, et me mets sur le dos pendant qu'il introduit son sexe dans mon cul. Il n'a pas un très gros sexe, mais il est fin et long, bien droit et maintenant bien dur.

Il s'introduit, va et vient; jusqu'à ce que son gland rencontre ma prostate (ça je ne le savais pas en ces termes là !). Un violent plaisir me traverse, faisant dresser à nouveau mon sexe brutalement.

Il sourit, ne dis rien et continue son mouvement.

Là encore, je ne suis plus qu'un seul plaisir qui grandit de seconde en seconde.

Et brusquement, il se lâche et je sens son foutre me remplir le derrière.

Il tombe à coté de moi et nous reprenons des forces et nos esprit lentement.



Je lui dis : Maintenant, je suis un enculé de première ! Et franchement, je ne comprends pas que ce soit une insulte vu le bonheur que c'est. C'est une revendication à afficher !



Une petite douche ?

Et nous voilà à nous savonner et nous caresser mutuellement, le sexe dressé, mais sans plus.



En sortant, je regarde l'heure : 10h, cela fait plus de 4 heures que je suis avec lui !

Il faut que je rentre !

On t'attend ?

Non !

Alors dine et dors ici.

OK

Et c'est le début d'une vie partagée, de sexe matin et soir (en semaine) et toute la journée le weekend.



Il 'explique qu'il a flashé sur moi dès qu'il m'a aperçu, mais qu'il ne me sentait pas homo. Je suis son type idéal de mec ! (un peu dur à porter !). Et je lui dis que je ne sais pas pourquoi je suis venu le voir. J'aime me branler, je fantasme sur des mecs et sur des filles. Mais je ne sais pas ce qui m'a guidé chez lui alors que je venais uniquement pour ça ! En plus, j'étais complètement puceau, aussi bien coté fille que garçon ! Il n'est pas du tout mon type de mec, mais qu'est ce qu'il me donne comme plaisir.

Je n'aime pas les poils, mais passer ma main sur son torse et les sentir me fait bander !



Avant de faire ce boulot, il était coiffeur. Alors je me laisse aller à mon second fantasme. Je lui demande de me couper les cheveux et de ma maquiller, très légèrement, afin de diminuer ma masculinité et de développer ma féminité. Et nous voilà à l'œuvre, physiquement et vestimentairement. Le weekend, nous parcourons les boutiques, plutôt de fille, à la recherche de vêtement un peu ambiguë. Il me déguise me maquille et quand nous sortons en boite le samedi soir, je dos dire que je fais un certain effet. Beaucoup de regards, garçons ou filles, e tournent vers moi, et me déshabillent ! Quelle volupté. Je suis avec lui, je dans avec lui, mais je sens des possibilités infinies s'ouvrir pour moi.

Le lundi, retour à la normale, et je pars travailler et lui me suis un peu après.



Nous avons vécu cela plusieurs mois, montant en gamme dans nos plaisirs et dans mes déguisements.



Et puis un soir, en boite, je vis entrer F : il ne me voyait pas, mais je savais que j'étais conquis et perdu !

Mon histoire s'arrête là, car après elle devient une histoire de couple(s) de malheurs, bref de la psychologie au lieu de sexe !
Répondre