Gloves : Pris le Zob dans la main

On t'as pris sur le fait ? Ou bien tu as surpris quelqu'un qui se branlait ? Raconte nous ça !
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Gloves
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Inscription : jeu. 06 juin 2013, 17:55

Gloves : Pris le Zob dans la main

Message par Gloves »

Actuellement c'est croustillant de vous raconter ces aventures, mais je peux vous dire que sur le moment, je ne faisais pas le fier.



Ma mère ne m'a jamais surpris en train de me masturber. Par contre à plusieurs reprises, elle a découvert des images érotiques ou des BDs coquines. Tout jeune, vers mes 12 ans, j'avais soigneusement découpé des images excitantes à mon goût, mais plus que prude vis-à-vis de ce que les jeunes de 12 ans peuvent se procurer. Il s'agissait d'images du début du strip-tease d'une fille, lors des fameux "Spring Break". Elle était en bikini dans une position suggestive devant une nuées de spectateurs. Si je me donne la peine de vous décrire cela, c'est que lorsque ma mère a trouvé cela elle m'a giflé. Pour elle c'était de la stupre et je tombais dans les vices et puis elle m'a fait la morale pendant plusieurs jours.



Donc souvent, lorsque je découpais des images suggestives, je les détruisais après m'être branlé et par la suite je regrettais amèrement mon acte, mais je ne savais pas où les cacher.



Connaissez-vous la BD "Pervers Pépère" de Gotlib et "ça vous intéresse" de Dany ? Je les avais achetées lorsque je devais avoir 14 ans. Et bien lorsqu'elle les a trouvées, elle les a déchirées devant moi en m'accusant de devenir dévergondé, vicieux. J'étais humilié, rabaissé. Bien sûr elle en a parlé à mon père en disant qu'il fallait me remettre sur le droit chemin... Là aussi elle m'a fait sa morale durant des semaines.



Par la suite, je me suis acheté un attaché-case avec serrure et je cachais là-dedans mes revues érotiques. Étrangement, elle ne m'a jamais demandé de l'ouvrir.



Du haut de mes 12 ans, j'avais déjà pas mal de branlettes à mon actif pour un débutant. Comme je vous l'avais dit dans ma première expérience ICI j'avais découvert cela avec le canapé en cuir du salon. Alors, dans le grenier, nous voulions nous entraîner à faire de la boxe. Alors mes parents avaient confectionné un sac avec des chiffons et de la mousse. Je me suis dit qu'en faisant un trou, j'allais pouvoir introduire mon pénis et vivre une sorte de pénétration. L'expérience n’était pas aussi excitante qu'une branlette avec mes mains, mais c'était une autre sensation assez agréable. J'y allais quelques fois. Et une fois que j'avais baissé mon pantalon et mon slip, j'effectuais des va-et-vient en gémissant. Soudain je vois mon père. J'étais pris sur le faits, mon pénis dans le sac. Je ne savais pas que faire. Mon père n'a rien dit, il est parti me laissant, rouge de honte. J'avais peur d'avoir une morale à table. J’imaginais déjà les propos outrés de ma mère. Et bien rien de tout cela, je pense que mon père n'en a pas parlé.



À mes 15 ans, j'étais en pleine consommation de masturbations. J'avais mon frère, qui avait 19 ans à l'époque, qui était encore à la maison. Souvent les mercredis et samedis après-midi j'étais seul à la maison. J'attendais que mon frère parte et je sortais mes supports érotiques et je me masturbait assez longuement. Donc un mercredi, j'ai mon frère qui part. Il allume sa moto et j'entends le bruit du moteur qui s'éloigne. Je suis seul, donc je sors ma panoplie du parfait branleur. J'enlève mes pantalons et je m'astique le zob. Soudain, j'entends la porte qui s'ouvre et mon frère rentre. Je suis en pleine érection, les images sur mon bureaux et sans pantalon. Je n'a pas le temps de cacher tout cela. Il me voit, nu, la queue qui bande, les photos de cul sur la table. Il est surpris et gêné. Il se contente de me dire qu'il a eu une panne avec sa moto et qu'il venait pour appeler le garage et me demande si je sais ou est le bottin de téléphone. Je suis rouge de honte, je voudrais me cacher, disparaître. Je balbutie... Il me laisse là. Nous n'en parlerons jamais. Mais les jours qui ont suivi, je baissais la tête et je l'évitais.



Eh bien oui, je n'ai jamais parlé de cela avec mon père et encore moins avec mon frère.
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