Par un groupe de jeunes dans une ruelle

On t'as pris sur le fait ? Ou bien tu as surpris quelqu'un qui se branlait ? Raconte nous ça !
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lilisuna1
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Par un groupe de jeunes dans une ruelle

Message par lilisuna1 »

Le soir en vacances, comme un soir sur deux je vais faire une virée. Parents endormis. Je me glisse hors du lit, en deux secondes je suis nu. Je mets juste un short. Pas de slip. Pas de tee-shirt. Pas de chaussures. Je suis torse nu, pieds nus. J’hésite un moment avant de passer la porte d’entrée. Est-ce que ce n’est pas trop choquant. On est en montagnes, c'est l'été. Mais bon, est-ce que les gens ne vont pas être vraiment choqués. Je ne peux pas faire plus. Est-ce que ce n’est pas le coup de trop. Ma verge est mi-figue, mi-raisin. C’est assez raisonnable, si je bandais franchement, ça se verrait. Le short est assez court. Déjà, ce n’est pas tout à fait normal de marcher tard le soir, dans une ville de montagne, torse nu et pied nu. Mais je suis jeune. Ça ne semble pas gêner les gens que je croise. Il fait chaud encore, un air légèrement frais circule déjà mais c’est le plein été. Des gens me disent même bonjour. Je leur rends le bonjour mais je marche vite d'un air afféré. J’ai la gorge sèche mais encore la présence d’esprit de répondre, comme si de rien était. Plusieurs fois, je suis prêt à faire demi-tour. L’air caresse mon corps. Je me sens beau, tellement beau, tellement à fleur de peau. Une ruelle, sans personne. Puis une autre. Au bout, la grande rue, celle où il y a toutes les terrasses de restos. J’ose ou pas ? Je me lance. Je la traverse. Pas trop vite, je veux qu’on me voie. C’est ce souvenir qui va rendre la masturbation si délicieuse. Je longe une terrasse justement. Il y a encore du monde. Presque personne ne me remarque, mais je sens bien quelques regards. Ou bien c’est mon imagination. En tout cas heureusement que j’ai traversé la rue et me retrouve à nouveau dans une ruelle. Parce que ça y est, je bande. Mon short est littéralement tendu vers l’avant. Pourvu que je ne croise personne. Je défais le bouton du short. Je rêverais de repasser devant le restaurant, le short ouvert. Je tourne à droite. Du monde arrive en face, une bande de jeunes qui rigolent fort. Je fais demi-tour en espérant qu’ils n’aient pas remarqué le relief douteux, le short ouvert. Ils ont bien dû voir que j’étais presque nu, torse nu, pied nu. Je reprends la ruelle, grand rue dans le dos, comme si je n’avais pas tourné. Un peu inquiet quand même. Je suis suivi. Les jeunes ont tourné au même endroit, je les entends plus fort. Je file à droite dans une plus petite ruelle. Horreur. C’est une impasse ! Si jamais ils me suivent… Je me colle à un mur. L’ombre ne me cache pas très bien. Mais ils passent sans me voir et heureusement sans prendre l’impasse. Je respire. Je ne suis pas si mal caché finalement. Je les entends moins. Mon short est ouvert, il suffit que je me trémousse, il tombe. Je m’assois cul nu sur le sol, le short sur les pieds. L’adrénaline a fait son effet, je ne sens plus la fraicheur du soir, je grelotte quand même mais je suis en feu. La verge entre mes pieds. Mes couilles touchent le sol. Mon dos touche le mur. Je pousse doucement ma bite vers le sol. Je fais toucher un caillou de mon gland, doucement. Et je caresse ma verge, comme un animal couché au sol, du ventre vers le gland, du ventre vers le gland, incessamment. A chaque caresse, le dessous de ma verge touche le caillou. D’un pied je jette le short qui tombe à côté et reprends les caresses. Je me caresse les pieds, les jambes, les cuisses, les fesses, puis à nouveau la verge. Je me titille les couilles avec tous les doigts. Puis les masse à pleine main. Un doigt effleure mon anus. Je remonte les mains et me titille longuement les tétons, les jambes écartées au maximum. Je me caresse le ventre, à nouveau les tétons. Je reprends ma bite à deux mains. Je vais arroser la rue entière, ça va être un déluge, un feu d’artifice.

Au moment où je sens le plaisir monter, le groupe de jeunes arrive. Pour fumer en douce surement. Je les entends mais trop tard. Je suis pris au piège. Ils tombent littéralement sur moi. Il faut voir le tableau, j’étais juste dans un recoin à l’entrée de la ruelle, ils sont à un mètre de moi, un pas et ils me marchent dessus, moi j’ai les jambes bien écartées, la bite tenue à deux mains, le short à côté de moi. Ils sont cinq. Une fille rigole en me voyant : « c’était toi tout à l’heure, t’avais chaud déjà dis donc ». Un gars me dit « bah qu’est-ce que tu tripote comme ça tout seul ». Ils forment un cercle autour de moi. Je me relève en trombe, attrape mon short et leur fonce dedans. L’un d’eux me saisit le bras : « attends, pars pas ». Je manque de tomber. C’est le moment où je jouis. Je lui éjacule presque dessus, le jet passe entre lui et une fille. Il se recule, s’écrie. Je m’enfuis. Je cours et remonte toute la rue, je me précipite presque dans la grande rue au restaurant. J’ai juste le réflexe de m’arrêter net, encore dans l’ombre. Je remets vite fait mon short et traverse la rue, plus vite que tout à l’heure. Enfin, ils ne m’ont pas suivi. J’ai dû gâcher un peu leur séance de fumette. Ils ont bien gâché ma branlette. J’ai vraiment froid maintenant, les gens que je croise sont en pull. Je suis toujours trois quart nu, les gens me regardent un peu plus. Je rentre vite fait. La nuit sera courte, j’ai vraiment froid. Le lendemain, je crois rêver. Dans un magasin, une fille me dévisage, me fixe avec insistance. Que dis-je, me déshabille. Mais non, elle ne déshabille pas, elle me voit carrément à nu, elle me revoit de la veille, elle m’a reconnu. Si je n’étais pas si confus, elle est vraiment belle. Je suis rouge comme une pivoine. Elle me tourne le dos, je comprends avec un temps de retard qu’elle parle à un garçon. Je ne cherche pas à le reconnaitre, je ne lui laisse pas le temps de réaliser. Je sors en trombe. Mes parents me demande, un quart d’heure après, quand ils me retrouvent un peu plus loin, pourquoi je suis sorti comme une furie. Mais je les entends à peine, j’épie au-dessus de leurs épaules. Un peu inquiet quand même.
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