Par deux randonneurs sur un chemin

On t'as pris sur le fait ? Ou bien tu as surpris quelqu'un qui se branlait ? Raconte nous ça !
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lilisuna1
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Inscription : mar. 16 juil. 2013, 23:47

Par deux randonneurs sur un chemin

Message par lilisuna1 »

C'était l'été, en vacances avec mes parents en montagne. Et Comme les jours précédents :

J'attends que mes parents s' endorment en faisant semblant de dormir moi même. Un petit coup d'oeil vers leur chambre pour vérifier que ça ronfle. J'échange le pijama contre le short (le plus court que j'ai). Et juste un short. pas de slip surtout. Je suis pieds nus, jambes nues, torse nu. J'ai aussi sec une gaule dingue.

Je sors le plus discrètement possible. Je descends l'escalier. Je sors. Je suis dans la rue. La gaule a diminué déjà. Le stress sans doute. Le froid peut être, il fait frais ce soir là, l'air pique un peu sur mon torse. Je vais tomber malade c'est sûr mais plus tard, pour le moment je suis bouillant.

Je croise des gens. Ils me regardent en biais. Je n'ai pas fait attention les soirs précédents mais si c'est les mêmes, ils doivent se poser des questions. Il est près de minuit, je marche pieds nus, torse nu, il doit faire 19 degrés max.

Je descend la rue. Bien excité. Au bout de la rue, un chemin qui monte à flanc de montagne.

A peine j'ai fait dix mètres je tombe le short. Je le pose à côté d'un rocher. Et je continue complètement nu. Je monte le long du chemin. Un virage puis deux puis trois. Je suis au sommet d'une colline. Je continue mais je ne vois plus le village. Alors je fais demi tour, jusqu'au petit sommet. Là je m'agenouille les jambes bien écartées et je me masturbe avec entrain.

Et je n'entends pas les deux randonneurs derrière moi. Ils me dépassent sans ralentir ni se retourner. Je ne les vois que quand ils sont à côté de moi. Je suis pétrifié. Je les regarde s'éloigner sans pouvoir bouger. La bite dans la main. Elle a un peu dégonflé. Quand ils ont disparu je tressaille. Et là quelle excitation. Je me branle avec une rage folle. Et je jouis sur le chemin, couché sur le dos. De grandes giclées brillent bien haut avant de retomber sur les pierres.

Je cours jusqu'à mon short et je rentre.

Le lendemain je suis déçu. Pas de rencontre sur le chemin. Pourtant il fait moins froid, j'attends longtemps, nu le long du chemin, je reviens même jusqu'à la route plusieurs fois. Et fini par m'y branler, le short dans la main.
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