dans le pétrin

Parle de ta toute première masturbation sans tabou. Comment l'as-tu découvert, avec qui ?
mitron
Messages : 8
Inscription : ven. 25 déc. 2015, 14:29

dans le pétrin

Message par mitron »

Cela fait un bout de temps que je découvre vos histoires et aujourd'hui j'aimerais vous raconter la mienne.

Elle remonte à quelques années. J'avais 14 ans et avais décidé de faire mon stage de 3ème dans une des boulangeries de ma petite ville de province.

Je n'avais pas encore découvert les plaisirs de la masturbation et internet n'en était qu'à ses début. Donc, pas possible de découvrir tout ça sur la toile !



Le patron avait accepté ma demande de stage, ainsi que celle d'un autre collégien de 3ème qui lui voulait réellement devenir boulanger. Il s'appelait Edouard. Il avait près de 2 ans de plus que moi et nous étions donc physiquement assez différents.

Mais il était sympa et nous nous entendions bien.



Nous ne pouvions pas commencer aux aurores, comme le faisait le patron, pour des questions juridiques. Ca m'arrangeait plutôt mais Edouard, lui, voulait vraiment connaitre le métier. Après quelques jours il me proposa de faire une surprise au patron et de débarquer à l'aube pour bien lui montrer notre motivation.

J'acceptais et mit le réveil sur 4h du matin.

Mais quand il sonna je n'avais qu'une envie, me rendormir. Sauf qu'Edouard m'attendait devant chez lui et je ne pouvais pas le planter là !

Je me levai donc et le le retrouvai devant son domicile, puis direction la boulangerie à l'autre bout de la ville.



Il entra le premier dans l'arrière boutique. La porte donnait sur une petite pièce qui elle-même communiquait avec le fournil. Le pétrin tournait déjà, couvrant le bruit de la porte, mais le patron venait de parler :

- tu ne dors pas ?

Edouard me fit signe de l'index sur la bouche de me taire.

- Le petit a fait un cauchemar je n'arrive plus à dormir.

C'était la femme du boulanger.

- Viens ici ma belle.



Nous étions là, un peu penauds, même si nous ne faisions rien de mal. Mais on avait l'impression de les surprendre. Je voulu ressortir mais Edouard me retint par la manche.

En même temps que le pétrin continuait son ronronnement, on pouvait entendre la boulangère pousser de petits gémissements.

C'était clair, ils s'embrassaient.

J'imaginais le patron en train de la peloter sous sa nuisette. Elle était déjà sexy en diable quand elle rendait la monnaie dans la boutique. Nous ne pouvions pas la voir mais je l'imaginais renversée sur les sacs de farine et lui, petit et rablé dans son short et en débardeur, en train de lui malaxer les seins.

J'étais hyper inquiet et hyper excité à la fois.



Les gémissements étaient de plus en plus prononcés, ceux de la boulangère, mais aussi les râles de son mari qui lâchait quelques mots, du genre, oh oui, oui, c'est bon....



Edouard s'était adossé à la paroi.

J'étais tétanisé. Le couple s'activait à moins de 5 mètres de moi et Edouard était là, adossé au mur, les jambes serrées avec une main sur son sexe.



Je sentais moi-même ma verge qui grossissait dans mon pantalon.

Edouard avait fermé les yeux et affichait un léger sourire crispé.

Sa main semblais légèrement carresser son entrejambe.

Il pliait légèrement les genoux et se redressait alternativement.

Ca s'accélerait dans le fournil : oh que c'est bon ma Louise !

Ca s'accélérait également dans notre cachette : Edouard donnait maintenant l'impression de souffrir tandis que sa bouche se tordait dans un drôle de rictus.



Puis sa main s'immobilisa tandis qu'il s'arquait, le bassin en avant.



Après de longues secondes d'immobilité, il revint à lui et sortit précipitament de l'arrière-boutique.

Ca copulait toujours dans la boulange et je rejoignis Edouard qui courrait plus qu'il ne marchait, avec une drôle de démarche.

- Putain, c'est fou, lâcha-t-il.

- Oui, t'as raison, dis-je, ne sachant pas très bien sur quel pied danser.

- Putain, mec, j'ai joui comme jamais, j'en ai plein le froc.

Je restai silencieux.

- Toi aussi ?

- Oui, oui.

- Faut qu'on enlève ça, on va aller à la station service prendre du papier dans le dérouleur.



Je ne comprenais pas vraiment où il voulait en venir masi il semblait très bien saovir ce qu'il voulait faire : - ensuite on ira dans la grande de mon oncle, je sais comment entrer par derrière. On se nettoiera en haut, dans le foin, à cette heure, y'aura personne et c'est loin des maisons....

Nous ne croisâmes pas âme qui vive à la station service, ni sur le chemin de la grange. Je craignais de rencntrer quelqu'un !

Edouard me fit entrer dans la grange et je le suivis ensuite à l'échelle.

On s'affala dans le foin, avec la sensation d'avoir échapper au pire.

- Bon, faut enlever tout ça.



Il commença à déboutonner sa braguette, remonta son teeshirt sur son torse et fit descendre son pantalon sur ses chevilles, découvrant un sexe luisant de sperme, le gland à demi recouvert de son prépuce.

Il était déjà un homme comparé à moi. J'étais impressionné par l'épaisseur de l'engin, pourtant au repos : il émergeait d'une épaisse toison brune, elle-même montant jusqu'au nombril.

Edouard commença à retirer l'épais liquide qui n'avait pas encore été absorbé par son slip. Puis il s'essuya consciencieusement le sexe avec le papier absorbant de la station service.

Il sembla alors me remarquer : tu ne te nettoies pas ?

- Non, ça va.

Il souria : t'as pas jouis, pas vrai ?

Je ne savais pas quoi répondre.

- Tu te masturbes ?

Je restai silencieux, honteux.

- Tu veux que je te montre ?



Il s'enfonça un peu plus en arrière dans le foin et pris sa verge à pleine main.

Je n'en revenais pas. Et surtout, la même sensation qu'à la boulangerie revenait dans mon sexe qui enflait.

L'engin d'Edouard se mit également à grossir et bientôt, il s'astiqua le manche.

- Allez vas-y, faits pareil.

Je decidai de libérer ma bite qui n'en pouvait plus, emprisonnée dans mon slip et libérais ma tige qui n'avait jamais été aussi grosse ni tendue.

Bien-sûr, à côté de la sienne, elle était plus petite mais elle avait une dimension que ne lui avais jamais connue.

Je restai là, penaud.

Il approcha la main et se saisit de mon pénis qu'il commença à branler lentement : - comme ça, dit-il.

C'était divin.

Allongé côte à côte je voyais son sexe tendu comme un arc. Il remarqua mon regard et m'intima :

- vas-y, branle-moi aussi.

Je n'avais jamais tenu un tel gourdin en main.

Ca paltitait sous mes doigts et soudain, un frisson sembla émerger de l'intérieur du mien.

Il accéléra ses mouvements se calant sur ceux que je lui infligeais.

Ca montait, ca montait en moi. Jamais connu ça. C'était fou. Et tout explosa. Une décharge plus forte que les autres. Je lui pris le poignet pour qu'il arrête tout mouvement et une giclée de mon foutre jaillit de mon gland, éclaboussant mon visage, puis mon torse et enfin, dans les derniers spasmes, mon ventre....

- Hey, me laissse pas en rade, mec !

Je compris qu'il n'avait pas joui et reprenant mes esprit je le rebranlais à nouveau.

Quand il fut proche de l'orgasme, il repoussa ma main et se termina seul, à son rythme.

Il revivait la scène du fournil.

- Je vais me la faire la boulangère, marmonait-il.

Il était comme fou, les jambes pliées, les genoux largement écartés, le fute sur les chevilles.

- Putain salope, tu vas l'avoir à fond dans le baba mon éclair au café.

Il accélérait encore le mouvement.

- Retourne-toi que j't'encule !

Puis soudain, il étouffa un cri : argh

Et il expulsa plusieurs jets qui vinrent maculer son torse poilu.



Inutile de vous dire que cet épisode resta gravé à jamais dans mon esprit. Et aujourd'hui encore, rien ne m'émoustille plus que d'y repenser.
Répondre