Stage de voile ou sa première branle réciproque

Parle de ta toute première masturbation sans tabou. Comment l'as-tu découvert, avec qui ?
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bobparis
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Stage de voile ou sa première branle réciproque

Message par bobparis »

Il y a un peu plus de deux ans je vous ai raconté ma découverte de la masturbation avec mon cousin. C'était l'été l'été de mes 12 ans il en avait 17. Je n'étais pas encore pubère, lui l'était.

Quand j'étais en quatrième, au mois de juin, l'été de mes 13 ans (donc l'année suivante) nous avons fait avec toute ma classe et d'autres classes un stage de voile pendant une semaine au lac des Settons.

Nous logions dans un ancien hôtel qui avait été reconverti pour des colonies de vacances. Il y avait le premier étage pour les garçons et le deuxième étage pour les filles.

Avant de partir il avait été convenu qu'une fille que je connaissais amènerait le magazine Playboy, je devais amener de mon côté amener Playgirl ou un magazine équivalent. Playboy serait donné aux garçons et Playgirl aux filles. Le but officiel était de mieux connaître l'anatomie du sexe opposé.

J'étais allé en vue de mon achat dans un kiosque à journaux à Saint-Germain-des-Prés qui vendait Playgirl. Il proposait aussi des magazines érotiques ou pornographiques masculins mettant en scène des hommes nus en érection. Ces magazines vendus étaient sous emballage fermé et opaque. J'en ai acheté un sans savoir ce que je découvrirais : c'était mon premier magazine pornographique gay. Je l'ai ouvert en rentrant chez moi. Il s'agissait d'une sorte de roman photo mettant en scène trois gars qui commençaient à boire un Coca-Cola dans un appartement, mataient un magazine porno, sortaient leurs queues au repos de leur braguette pour commencer à se branler chacun de leur côté puis se branlaient mutuellement, se déshabillaient et se faisaient des fellations. Ils avaient tous les trois des queues véritablement énormes. Ce soir là en matant le magazine montrant ces très grosses queues au garde à vous, j'étais excité comme jamais et je me suis branlé de nombreuses fois de suite (une dizaine) pendant plus de deux heures,en éjaculant à chaque fois de moins en moins de sperme.

Puis nous sommes partis faire le stage de voile en car. Je me suis retrouvé dans une chambre pour quatre. On avait tous treize ans. Le premier soir nous sommes retrouvés tous les quatre en maillot de bain dans la chambre et j'avais le magazine Playboy que j'avais récupéré.Sur les quatre j'étais le seul complètement pubère, deux n'avaient pas encore commencé leur puberté, et un l'avait commencée. On a commencé à mater les images des filles à poil. J'avais la gaule, celui qui commençait sa puberté aussi. Les deux autres pas encore. Le bout de mon gland bien dur cherchait à sortir du maillot de bain. Les trois autres l'ont remarqué à leurs regards. Je me suis caressé la queue à travers le maillot et quelques minutes après j'avais inondé mon maillot de precum au niveau du gland. Les trois autres l'ont remarqué car ils ont regardé mais ils n'ont rien dit.

Puis on a éteint les lumières, les persiennes laissant passer la lumière de la lune. Les quatre lits étaient tous au même niveau.

Tellement excité j'ai continué à me branler dans mon maillot de bain, puis je l'ai baissé libérant ma queue en érection, et je me suis branlé pendant de longues minutes le drap retiré, les trois autres pouvant profiter du spectacle et le sommier grinçant à chaque aller et venue de ma main sur ma queue. Je ne pouvais me rendre réellement compte si les autres entrouvraient les yeux pour mater. Puis j'ai éjaculé de longs jets. Puis je me suis endormi.

Le lendemain matin personne n'a parlé de quoi que ce soit de la veille au soir.

La fille qui avait récupéré le magazine porno gay me l'a rendu au motif que les filles a priori n'étaient pas intéressées, c'était trop cru!

À la fin de la première journée du stage de voile on a tous les quatre de la même chambre pris notre douche collectivement dans la douche des garçons au rez de chaussée. Je les ai rejoint quand il étaient en train de se doucher, tous en maillot de bain. J'ai enlevé mon maillot de bain et je me suis douché à poil devant les trois autres. Ils ont gardé leur maillot mais jetaient des coups d'œil à la queue. La mienne était au repos et je la savonnais en la décalottant. Celui qui avait commencé sa puberté sortait de temps en temps sa queue du maillot pour se savonner et se rincer. Sa queue avait commencé à se développer et ressemblait à celle d'un adolescent et il avait une petite touffe de poils au pubis.

Le soir après le repas on s'est retrouvé tous les quatre à la chambre. Toujours en maillot de bain car il devait faire au moins de 30° dans cette chambre de quatre lits.

J'ai ressorti le magazine de la veille au soir Playboy et aussi le magazine porno gay qui m'avait été rendu le matin. Ils m'ont tous demandé quel était cet autre magazine, je leur ai dit que c'était celui qui avait été acheté pour les filles et qu'elles avaient rendu. C'est lui qui commençait sa puberté, Philippe, a dit on peut regarder aussi l'autre magazine pourquoi pas. Ils avaient les yeux exorbités et étaient silencieux en regardant le magazine montrant les gars sortir leur queue et se branler et se sucer. Philippe a pris la parole le premier en disant mais ils ont des queues monstrueuses tous les trois! À regarder son maillot de bain ça lui faisait autant d'effet que les filles à poil la veille au soir. Les deux autres disaient oui ils ont des queues énormes et on aurait jamais cru qu'on verrait des mecs faire ça ensemble. Mais tout le monde continuait à regarder et j'avais mon maillot de bain comme celui de Philippe : déformé devant par mon érection. Les deux autres avaient l'air de s'en rendre compte.

Puis on s'est couché. J'étais tellement excité par les images qu'une bonne branle s'était indispensable. J'ai attendu un peu, ai retiré le drap, enlevé mon maillot de bain. Et j'ai commencé à branler ma queue dont le gland mouillait à nouveau. La lune éclairait encore un peu la chambre et mon lit était à angle droit de celui de Philippe. Au bout de quelques minutes Philippe commença à se masturber sous le drap. Et avait les yeux ouverts en me regardant me branler. Je lui ai fixé le regard et me suis branlé de plus en plus. Il a retiré le drap, baissé son slip de bain et exhiba sa queue moins grosse que la mienne mais très dure lui collant au ventre et non circoncise. On s'est branlé en se matant mutuellement. Puis je me suis levé, la queue au garde à vous suis venu en direction de son lit et suis resté debout contre son lit à le mater. J'étais toujours au garde à vous. Il me regardait la queue sans bouger. Je me suis assis à côté de lui et lui ai attrapé la queue dans ma main. Il a sursauté mais s'est laissé faire. Sa queue était chaude et dure dans ma main. Après quelques va et vient il m'a saisi la queue et a commencé à me branler. C'était la première fois que quelqu'un d'autre le branlait, au bout de quelques minutes il est devenu de plus en plus dur et avait l'air inquiet. J'ai continué et son sperme a fusé sous mes doigts. C'était sa première éjaculation il m'a dit après. Il était radieux soulagé et inquiet. Il continuait à me branler et moi aussi je le branlais à nouveau sa queue n'ayant pas débandé après sa première éjaculation. Il m'a branlé longuement et un peu maladroitement, je le décalottais et recalottais en le branlant et il se tordait de plaisir. Quand il a senti mon sperme couler dans sa main, il a éjaculé à nouveau instantanément et m'a mouillé toute la main une nouvelle fois.

Puis je me suis couché dans mon lit.

Le lendemain nouvelle journée de voile. En revenant à pied Philippe s'isola pour me parler sur le chemin du retour. Il m'appris que c'était sa première éjaculation la nuit dernière, que jusqu'alors il se frottait la queue contre le matelas en s'allongeant sur le ventre, que les photos du magazine lui avaient donné l'idée de saisir sa queue avec sa main, qu'il avait vu ma queue sous la douche hier et voulait me la toucher mais je savait comment s'y prendre,...

Les soirs restants de ce stage de voile nous nous sommes masturbés tous les soirs plusieurs fois chacun mutuellement.

C'était il y a longtemps mais je bande à chaque fois que j'y repense.
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